Répondez simplement à chacune des questions suivantes.• MotivationPOURQUOI AVEZ VOUS CHOISI DE DEVENIR UN ESPION ET DE DEVENIR UNE 'AUTRE' PERSONNE DANS LE CADRE DE VOTRE TRAVAIL ? : Qui d'autre sinon moi? On se sent puissant et fier les fesses clouées dans une salle d'examen où parmi tant d'autres on rêve d'accéder au statut de policier! Ce métier glorifiant, passionant, important, un rêve de gosse. Tu parles! Passé l'euphorie du succés de l'examen et des premiers jour dans son bel uniforme, on s'ennuit vite. J'ai la prétention de croire que j'était un bon élément dans mon équipe, d'ailleurs j'ai rapidement gravit les échelons quand le FBI m'a engagé pour ma si bonne mémoire, mais il me fallait plus. Je ne supportait pas de passer mon temps à séparer des poivrots à la sortie des bars, et une fois arrivé à un poste plus important je n'ai pas hésité une seconde quand on m'a proposé ce poste d'espion. L'adrénaline, l'action sur le terrain, c'est tout ce que je demandais. Bien sur on fait moins le malin arrivé le jour J, mais c'est tellement plus motivant pour se lever le matin que de s'imaginer passer la journée le cul dans une chaise face à un bureau tout neuf. Et surtout, c'est passionant de voir le revers de la médaille, la manière de travailler, de vivre tout simplement des truands. C'est dangereux d'un côté, il ne faut pas se laisser attendrir par la douce vie de hors-la-loi qui peut faire changer certains de bord. Heuresement certains évènements te remette bien vite le spieds sur Terre!
• CarrièreLA CHOSE LA PLUS DURE DANS VOTRE METIER ? : On pourrait croire que se faire passer pour ce que l'on est pas est le plus dur dans ce métier. Il est sur que le premier jour on se fait littéralement dessus, on respire un bon coup et on se jette dans la geule du loup en pretendant être un homme sans foi ni loi, un homme comme tous ces visages rongés par la violence qui nous entourent. Pourtant, on s'habitue assez vite! Je me suis rapidement mis dans la peau de mon personnage et mentir devient comme naturel, de toute façon on a pas le choix! J'ai un caractère qui fait que j'ai pas peur de prendre les devants, de l'ouvrir un peu trop parfois, je suis téméraire et c'est ce qui plait dans ce milieu. Je sais rester à ma place quand il faut et me manifester au bon moment. Alors voila, on met vite de côté la peur de se faire démasquer, et ce que je crains, c'est d'être coincé volontairement dans ce milieu, d'y prendre goût...j'ai passé mon enfance dans les quartiers chauds de Boston, j'ai donc un air familier avec ce monde.
VOTRE EXPERIENCE LA PLUS MARQUANTE : Je venais d'infiltrer un gang depuis tout juste deux semaines. Le boss, Franck m'avait déjà à la bonne, j'avais assez de couille et assez de fidélité pour lui plaire, j'avais déjà gagné une bonne part de sa confiance, même si ces hommes là se méfient toujours. Il avait ce genre de regard doux contrastant avec l'envie sanguinaire de son sourire. Ces premières semaines ont étés térrifiantes. J'était constament mal à l'aise et je le cachait comme je pouvais...il faut dire que ce groupe là était particulièrement dur et j'étais confronté à des situations très pénibles. Comme ce fameux jour. On devait se rendre moi et le bras-droit chez un certains Red qui devait pas mal d'argent au boss. En arrivant devant la petite maison miteuse je me doutais que ça allait très mal se passer...il ne pouvait décamment pas posséder toute la somme que lui réclamait Franck. Mon acolyte lui explosa sa porte d'entrée d'un coup de pied, arme levé en entrant dans le salon. Une femme enceinte se tenait sur le canapé, tandis q'un homme revenait de la cuisine, une bière dans la main. Il se figea un instant et tandis qu'on lui hurlait la raison de notre venue la femme suppliait déjà et il me demanda de lui pointer mon revolver sur la tempe pour la faire taire. Je m'exécutais. Puis tout se passa très vite, une balle fut tirée après que Franckie est avoué qu'il n'avait pas l'argent. Il tomba sur le tapis, une tache de sang se répandait sur le tissu clair. La femme hurla alors mon "collégue" lui planta une balle entre les deux yeux. Et moi j'était pétrifié, les yeux grands ouverts devant ces trois vies éteintes. Ce fut ma première expérience du genre et après avoir vomis mes tripes je m'y habitua pour les prochaines à venir...
VOTRE EXPERIENCE QUI FAIT VOTRE FIERTE : Bien sur il y a l'horreur du métier, du milieu auquel on doit s'acclimater, mais il ne faut pas oublier le but de tout ça! Ce qui fait ma fierté c'est de transmettre des informations au péril de ma vie pour sauver celle des autres. Ma contribution sert à sauver des vies, que demander de plus? C'est une grande satisfaction qui nous sert à avancer et à nous lever le matin, à ne pas baisser les bras et craquer...car il y a des jours où c'est vraiment dur, faut pas se leurrer!
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• Mise en situation. THE DAY EVERYTHING CHANGEDEt mon coeur battait si fort que je me demandais comment mon interlocuteur ne pouvait pas l'entendre. Pourtant encore en sécurité dans les locaux du FBI tandis qu'on installait sous ma veste un des derniers dispositifs ingenieux des têtes pensantes de l'organisation. Mes yeux seuls étaient aussi fidèles qu'un objectif, c'est d'ailleur pour cette qualité que j'avais l'honneur de faire partie des espions. Une taupe, j'étais devenue une taupe! Le micro une fois installé, j'avais l'impression qu'une grande pancarte "MOUCHARD" était pointée vers moi. Un homme que je ne connaissais que de nom me donna une tape amicale sur l'épaule en me souhaitant bonne chance, et on me raccompagna à la sortie. Première infiltration pour Aurel Brazington. Une vulgaire histoire de drogue, un complot qu'on soupçonnait mêlé à d'autres méfaits impliquant meurtres dirigés et prostitution. En ce qui concerne la manière d'arriver à aperçevoir les têtes d'affiche et à en savoir un peu plus sur l'organisation, c'est uniquement mon problème! J'en avais la nausée. J'avais beau inspirer profondément, je déglutissais toutes les secondes, essayant tant bien que mal de garder mon ptit déjeuner à l'intérieur. J'arrivais enfin devant la teinturerie qui faisait apparement service de couverture au groupe de dealers. Alors j'ai tapé trois coups sec contre la porte, trois coups qui résonnèrent dans ma tête comme un glas. Je m'autorisai à fermer quelques instants les yeux, me débarassant de la peur qui me tiraillait les entrailles pour vêtir définitivement le masque approprié pour ce job.
-Qu'est -ce tu veux? aboya l'homme balafré dans l'encadrement de la porte.
-J'viens pour un job. répondis-je d'une voix assurée mais pas trop téméraire.
-On embauche pas ici, dégage! me cracha-t-il au visage avant d'esquiser un geste pour fermer la porte.
-C'est Jack qui m'a donné cette adresse! ripostais-je en sortant le nom de cette homme mort quelques jours plus tôt et qui apparament faisait partit de cette organisation. Et puis, tout le monde connait un Jack, non?
-Jack?...c'était un bon lui! Bon amène-toi! grogna-t-il en me laissant passer.
Mon corps aurait voulut trembler mais mon visage restait impassible. J'étais entré et heuresemement je semblait ne pas être tombé sur le plus malin! Le plus dur était à venir.
AND ACT AS IF YOU'RE LIFE DEPENDS ON ITEt j'en avais vu. Et j'étais pleinement intégré. Je n'étais là que depuis cinq mois, ce qui ne m'avais pas donné la possibilité de voir plus haut que le boss de la drogue. Mais c'était déjà une branche importante de l'organisation. J'avais vu pas mal d'horreur. Des meurtres organisés pour se débarasser des gens qui en ont vu trop et autres réglements de compte, ainsi que des overdoses par pagaille. Je n'étais qu'un vulgaire acolyte, on ne m'avait pas donné de rôle important encore, je n'avais pas encore leur confiance étant donné mon entrée pour le moins suspicieuse! Je ne connaissais quasi rien de ce Jack dont j'étais censé être un membre de la famille plus ou moins lointain, et l'homme étant mort, rien ne pouvait me donner raison ou tort.
-Aurel, magne-toi, on bouge! J'avais compris l'inutilité de demander le pourquoi du comment, je suivais point barre. Je prit place au côté de Trent dans la camionette et il me donna un revolver.
-On va faire un tour dans le Queens, ya un fils de pute qui revend notre came, et on va vite lui faire comprendre que ça nous plait pas! A force, ils s'étaient habitués à mon silence, j'étais le mec un peu grognon qu'il fallait pas chercher sinon il s'énerve. La voiture se stoppa devant une maison à l'allure normale.
-Par là, chuchota Trent en m'indiquant la porte arrière.
Tu me laisses causer, tu butes personne avant que je te le dise, ok?J'hochais la tête et Trent envoya la porter valser dans le mur . L'arme levé, je pénétrais à mon tour dans ce qui semblait être le salon et le spectacle était surprenant. Des filles à moitié nues traînaient un peu partout, d'autres gars semblaient morts sur le sol ou bien tout simplement stones. Des rails de coke subsistaient encore sur certaines tables et dans le fond un latino comptait des billets. Il cessa bien vite toute activité.
-Alors Javier, tu crois pouvoir te foutre de la gueule du boss comme ça? cria Trent en pointant son flingue dans sa direction.
-La ferme! hurlais-je aux filles qui gémissaient de peur.
-Attend Trent, c'est pas ce que tu crois...je, je peux rembourser, on peut s'arranger! bégaillait l'autre, térrorisé.
-On est pas du genre à négocier! T'a voulu jouer au con, tu vas payer! acheva-t-il avant d'appuyer sur la détente. Les filles encore assez conscientes hurlèrent et une silhouette passa en courant dans la pièce voisine.
-Yen a un autre qui s'échappe!-Alors rattrape ce batard et tue le! Avais-je le choix? En même temps j'étais obligé de le prévenir, Trent l'aurait vu et j'étais censsé faire mon job putain de merde! J'ai bien vite rattrapé l'acolyte dans le jardin, et si je n'avais pas sentit le regard de Trent qui me fixait à travers la fenêtre, j'aurais prétexté ne pas avoir réussis à le suivre, mais non. Alors j'ai abbatut cette homme de sang froid, sans détourner le regard, sans trembler quand du sang gycla sur mon visage. De retour dans le salon, Trent récupérait l'argent, en glissa une dans sa poche et me lança une liasse.
-Tient garde ça, on le mérite bien! Et puisque qu'on est là, tu peux profiter de ces putes! La moitié s'en rendront même pas compte! dit-il en rigolant!
-Ca va aller...-Roh allez, t'es gay ou quoi? -Va te faire foutre, je passe pas après les autres c'est tout!Trent haussa les épaules habitué à l'humeur exécrable de son partenaire et fourgua sa langue dans la bouche d'une des filles, je restait là au milieu de cette décadence, encore pétrifié par ce que je venais de faire.
THE UNITED STATES ARE PROUD OF YOUEt j'en avais retenue des visages, des noms, des lieux, des situations. Plus quelques aveux vocaux grâce aux micros et on avait assez pour monter un dossier complet et suffisant pour faire inculper tout le petit monde. J'avais consacré un an de ma vie à ce job, à ces personnes, à ce milieu et bizzarement ce fut étrange de tout cesser du jour au lendemain. J'atais là quand la police à débarquée. Ce fut un sacré bordel! J'ai du faire semblant, et même tirer quelques coups, contre mes collègues pour faire genre de me défendre comme les autres. Mais en vain car tout le monde fut coffrés, moi y compris pour préserver l'illusion. On me félicita et on me donna un peu de repos jusqu'à une prochaine mission. Le cap de la première infiltration passée, on se sent beaucoup mieux, beaucoup plus confiant pour la prochaine fois! Mais c qui ne changera jamais, c'est cette peur au ventre qui nous accompagne continuellement pour nous rappeller qui nous sommes et à quel danger on est confrontés!
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AVATAR : Leonardo Dicaprio
PSEUDO :Freaky Business
SEXE : F
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? : Bazzart
OBSERVATIONS : J'adore ce contexte (L)
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