Le Casier Judiciaire de Jax...

NE LE (AGE): 28 ans, né le 13 mars.
A : Dans une petite ville à côté de New York.
VILLE DE DOMICILE : New York pour le moment.
ETAT CIVIL : Divorcé
PROFESSION : Mécanicien, propriétaire d'un petit garage tout à fait légal.
NATIONALITE : Américain

Si votre casier judiciaire n'est plus vierge, la partie suivante est à compléter. Le nombre d'infraction est variable, bien entendu, selon les personnes. Il faut un minimum d'une infraction pour avoir un casier judiciaire non vierge, cela va de soi. Ajouter autant d'infractions que vous le voulez.

• Infraction numéro une
DATE DE LA CONDAMNATION : 15 janvier 1996.
NATURE DU CRIME OU DELIT : Achat d'alcool et consommation sur la voix publique.
DATE PRECISE DU CRIME OU DELIT : Dans la nuit du 14 au 15 janvier.
NATURE ET DUREE DE LA PEINE : Heure d'intéret général. Temps 3 mois.
OBSERVATIONS (facultatif) : Le jeune homme ne semble manifester aucun remords et aucune peine à défier les services de l'ordres, il à insulter un policier qui à choisit de ne pas donner suite.

• Infraction numéro deux
DATE DE LA CONDAMNATION : 8 juin 1998.
NATURE DU CRIME OU DELIT : Excès de vitesse, refus d'optempérer, violence envers les forces de l'ordres.
DATE PRECISE DU CRIME OU DELIT : 6 juin 1998.
NATURE ET DUREE DE LA PEINE : Amende de 500 $. Prison avec sursis 3 mois.
OBSERVATIONS (facultatif) : Bien que n'ayant pas de preuve à ce sujet, Jackson Morrow est suspecter d'avoir conduit en état d'ivresse et après avoir consommer des substences illicites. Le jeune homme à frapper un policier au visage, ce dernier à du se rendre à l'hôpital pour se faire soigner. De plus le jeune homme à insulter ouvertement les policiers présents.

• Infraction numéro trois
DATE DE LA CONDAMNATION : 28 juillet 2002.
NATURE DU CRIME OU DELIT : Coup et blessure durant une bagarre dans un bar.
DATE PRECISE DU CRIME OU DELIT : Dans la nuit du 27 au 28 juillet 2002.
NATURE ET DUREE DE LA PEINE : Peine de prison. Durée : 1 an (dont les 3 mois de sursis), ainsi qu'une mise à l'épreuve.
OBSERVATIONS (facultatif) : Lors de l'arrivé de la police sur les lieux de la bagarre, le jeune homme se trouvait encore en plein combat. Il est responsable d'une blessure à l'arme blanche, et à nouveau n'a montrer aucun signe de remord. Après des test toxicologique, le résultat à était un taux d'alcool supérieur à la moyenne autoriser, ainsi que la présence de drogue.

• Autres

Le jeune homme est le second d'un club de motard, qui est suspecter d'être à l'origine d'un trafique d'arme et de différent méfait. Il agit souvent avec violence mais reste une personne très intelligente qui arrive la plupart du temps à se couvrir. Il porte toujours deux armes, l'une blanche l'autre à feu. Il à était interroger de nombreuses fois sur différents crime mais aucune preuve n'a permis une arrestation.



• Mise en situation.



Ma journée avait plutôt mal commencé, au réveil la femme avait qui j’avais passé une nuit endiabler semblait s’être enticher de moi et ne plus vouloir me quitter, alors à 7h00 du matin je me fis traiter de salaud avant de la mettre à la porte, rapidement je pris une douche et prit un café. Après avoir consommé le breuvage qui avait un gout horrible, il datait d’au moins deux jours, j’abandonnai la tasse sur la table et me saisit de mes clé, de ma veste de moto ainsi que de mon casque, chez moi j’étais propriétaire d’un petit garage, pour me faire de l’argent, en tout cas de manière légal, j’avais proposé mes services comme mécanicien à New York. Je fermai la porte de mon appartement et me dirigea vers ma moto, une Harley Davidson plus précisément une Dyna, la meilleure moto que l’Amérique est pu faire à mes yeux, rapide, belle… inutile de dire qu’elle fait ma fierté, sur le réservoir on peut y voir une représentation assez complexe du motif du club de motard auquel j’appartiens, une superbe faucheuse entourée de nuages orageux, d’éclairs et du sang sur le bout de la faux dont le manche est un M16 bien sûr. Je démarrai ma moto et me dirigea vers le garage, au bout de quelques secondes je remarquai une voiture grise qui me suivait, je souris, un flic à coup sur. Cela ne changea rien pour ce que j’avais prévu. Arrivai au garage je me dirigeai vers le vestiaire et me changea rapidement.

La matinée passa assez rapidement, un peu avant midi je décidai de me nettoyai et de partir manger, une fois propre je me dirigeai vers la sortie du garage où je remarquai la même voiture qui m’avais suivi le matin même, je me dirigeai vers Candy, elle tenait le bureau et passai son temps à surveiller ce qui se passait pour le raconter à ses copines des autres bureaux du coin.

Dis-moi ma belle cette voiture elle est là depuis quand ?

Candy jeta un coup d’œil à la voiture et sourit, d’un air conspirateur elle s’approcha de moi et me dit :

Il n’a pas bougé de la matinée, en faite depuis que tu es arrivé ! Tu sais qui sait ?

Je souris et m’approcha un peu plus et lui murmura simplement :

J’ai ma petite idée.

Un flic à tout les coups, il voulait me suivre, pourquoi pas, après tout je le comprenais ma vie était passionnante surtout pour un mec comme lui, je me dirigeai vers ma moto et lui fit un signe de tête pour bien lui faire comprendre que je savais exactement ce qu’il faisait. Je me dirigeai vers le restaurant où j’avais l’habitude de déjeuner le midi, pas trop cher et relativement bon. J’y avais mes habitudes, la serveuse s’approcha et posa devant moi un verre d’eau :

Comment ça va aujourd’hui Jax ? Tu as choisi ?

Bien, on à une belle journée aujourd’hui. Je prends le poulet au piment et son riz avec une bière. Dis-moi Lauren tu vois la voiture grise garer devant le restaurant ? La jeune femme fit un signe oui de la tête. Bien, alors tu lui apportes un sandwich au thon et un café, tu le mets sur ma note et tu lui souhaite un bon appétit de ma part.

Je déjeuner tranquillement et paya la note avant de partir, Lauren me fit remarquer que mon « ami » n’avait pas accepté le déjeuner et qu’il me proposer d’aller me voir chez ma maman, je souris à l’évocation de ma mère, il me le payera, pas tout de suite, mais il allait le regretter. Avant de partir je discutai quelques secondes avec la serveuse puis alluma une cigarette, faite de tabac celle-ci, ce qui n’est pas toujours le cas avec moi. Je jetai le mégot non loin de la voiture et sourit au policier à l’intérieur tout en le détaillant un peu, il portait un costume, cela voulait tout dire : un fédéraux, je crachai sur le sol, certainement un mec de l’ATF, c’est dernier en on après SAMCRO depuis des années sans rien pouvoir prouver contre nous, je parlerais au club plus tard, je n’avais pas le temps pour le moment.

Mon après midi passa aussi vite que ma matinée, je travaillai sur une moto, une Harley, quand mon patron me dit qu’il était largement temps que je parte, blaguant sur le fait que mes heures supplémentaire aller le mettre sur la paille. C’est vrai, j’aimai travailler sur une moto, ou même sur des voitures, la mécanique avait un effet apaisant sur moi, et comme disait souvent ma mère, pendant que je bricolais, je ne faisais pas le mal. Enfin bref… Une fois rentré chez moi, je pris une longue douche tout en réfléchissant à mon nouveau pot de colle humain, il fallait absolument que je trouve le moyen de me débarrasser de lui avant qu’il décide d’emménager avec moi, question pratique évidemment, peut être qu’il aurait besoin de mes toilettes pour piser. A nouveau je descendis les escaliers pour sortir de l’immeuble dans lequel se situer mon appartement, dans ce quartier personne ne viendrai en aide à un inconnu, encore moins à une personne qui ressemble tellement à un flic. Je suis une personne direct alors sans me cacher j’avançai vers la voiture et sortie mon couteau que je plantai dans le radiateur de la voiture, le policier descendit tout de suite de voiture :

Utilisation d’une arme mortelle sur une voiture d’un agent fédéral, cela peut aller loin Morrow tu sais ça ?

Ce que je sais c’est que si tu continues à me suivre c’est pas dans ta caisse que je plante mon couteau mais dans ton bide ! C’est clair ?

Tu oses menaçait un policier, tu va aller en prison toi et toute ta petite bande !

T’as rien contre nous, alors un conseil trouve toi une autre occupation que de passer tes journée à me suivre, ce n’est pas sérieux, les gens vont finir par penser que tu es amoureux de moi, et sauf si une énorme poitrine te pousse un jour tu n’es pas du tout mon type ! Désolé.

Sa voiture était hors service pour le moment, le temps qu’il appel une autre équipe pour prendre le relai ou pour venir le chercher je serai déjà loin, certes il sait où j’habite mais j’ai besoin d’être tranquille pour régler quelques affaires ce soir.

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On peut toujours rêver, en tout cas si tu veux me passer les menottes madame l'agent du FBI je suis pour... et si tu te demande : oui c'est une proposition...

Sinon, je suis en train de faire ma mise en situation sur word, je pense que je la poste cette aprem.