KEEP THE GUN
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 À quoi bon rester enfermé à déprimer

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Kyle Sanders
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Kyle Sanders


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MessageSujet: À quoi bon rester enfermé à déprimer   À quoi bon rester enfermé à déprimer EmptyMar 6 Oct - 22:37

    À peine lever, qu'il avait prit la direction du salon et s'était laisser tomber lourdement dont un canapé. Encore ensommeillé, il prit sur la table basse le livre qu'il avait commencé la veille:

    << On retrouva le corps du malheureux dans la neige près de sa demeure. Celui-ci, à la demande de sa femme, était sortit chercher du bois. Il fut tué le premier. Lorsque le corps sa meurt, le cerveau est le dernier à quitter le navire. Constant eu simplement à tendre l’oreille pour entendre les cris apeurés de sa femme. Le reste, il n’en fut rien. L’âme n’en fit qu’une illusion, rien de plus. Par les cris de douleur du cœur, l’âme créa une histoire, une utopie pour rendre le cœur moins lourd. On ne raconta jamais l’histoire de sa vie. N’y aujourd’hui, n’y demain ne connaîtra son récit par écrit. De par le souffler du vent d’hiver, il rencontrerait son histoire pour qu’un jour on puisse connaître qui il était... >>

    Beaucoup trop tôt pour continuer cette lecture. Il envoya le livre valser sur le divan en face et alluma la télévision. Sanders alla a la cuisine faire un café et écouta la télévision cracher les dernières prévisions. Alors que celui-ci se pointa dans l'embrasure du salon;

    « Soixante pourcent de risque d'orage sur toute la région ... »

    Kyle appuya sur la touche ''POWER'' de la télécommande. Assez, il en avait plus qu'assez des mauvaises nouvelles de la région. De plus, il ne voyait pas pourquoi il s'entêtait à regarder la météo. Le meilleur moyen de la vérifier était de sortir dehors. Kyle laissa un soupir franchir ces lèvres et ferma, par le fait même, les yeux durant une brève seconde. Sanders s'avança dans le couloir de son petit appartement. Il passa une main dans sa courte broussaille et franchit la porte de sa chambre. Il enfila un jogging gris et un t-shirt noir et reprit le même couloir pour se diriger vers l'entrée de l'appartement. Il mit rapidement ses chaussures, prit ses clés et son lecteur mp3 et, verrouilla la porte derrière lui. L'ancien tireur passa la main dans la boite aux lettres. Rien! Pas de nouvelle, bonne nouvelle.

    [...]

    « - Bon matin, monsieur Sanders! » Fit madame Thomas du haut de son balcon. Kyle lui envoya la main comme chaque fois qu'il a voyait. Que de routine!

    Enfilant ses écouteurs, Kyle se mit a un pas de course plutôt lent. Il prendrait de la vitesse à Central Park. Depuis l'expérience de la discution enflammé entre le dealer et son client, hors de question de repasser par les ruelles. Après quelques minutes, il arriva à l'entrée de Central Park.
    L'homme s'arrêta et réajusta ses chaussures avant de repartir. Par cette arrêt, il prit temps de regarder autour de lui, personne de suspect. Il appuya sur la touche précédente de son mp3, insatisfait de la chanson jouer. Un nouveau soupir franchit ses lèvres. à quoi bon penser sans cesse au passé si celui-ci ne fait que vous hanté, vous harcelez même dans vos rêves. Seul le désire de leurs montrés qu'il pouvait toujours servir. Si se n'était pas eux, ça serait quelqu'un d'autre. Ayant accélérer son pas de course, il passa près de l'étang à canard et s'arrêta. Kyle baissa la tête pour respirer un coup et repartit rapidement. Erreur! Il fut de nouveau arrêter;

    « - Navré! Tout va bien? »
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Judy Dickson

Judy Dickson


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MessageSujet: Re: À quoi bon rester enfermé à déprimer   À quoi bon rester enfermé à déprimer EmptyMar 6 Oct - 23:24

    Un rayon de soleil perça la vitre dans son angle droit dégagez de tout rideau pour réchauffer la joue de Judy, profondément endormie après une fête géante qu'elle avait organisé le soir même afin de fêter l'événement qui s'apprêtait à illuminer sa journée. Un petit « clic » résonna dans la chambre blanche, aux simples décorations n'ayant eu guère le temps de s'en occuper depuis un mois. Une musique tenta de la réveiller en douceur, sur l'air de New Divide de Linkin Park mais ce fut succès, la belle agrippa le coussin blanc à ses côtés avant d'enfouir son visage en dessous et se servir de cet objet malléable pour diminuer le son au niveau de ses oreilles. Manque de chance, un second réveil commença à chantonner plus fortement les nouvelles du matin. Euréka, elle en ouvrit un oeil avant de jeter sa main droite tel un missile sur le pauvre réveil en plastique blanc et d'un revers de sa main, l'étala de tout son long sur le mur d'en face, détachant sa batterie du reste du corps. Difficile de réveiller une marmotte mais heureusement, un troisième réveil bien moins délicat se mit à chantonner l'air du coq, s'empressant de lui donner une crise cardiaque, un choc dont elle se serait bien passée mais qui eu l'effet escompté. A mi-réveillée, la demoiselle se redressa sur le bord de son lit en observant l'heure clignoter. 8h00 déjà ? C'était à peine si elle avait dormi quatre heures. Pas de répits pour les jeunes, il était temps de se préparer. Le regard embrumé et les cheveux en pagaille, la jeune fille s'enroula dans sa couette blanche avant de se glisser hors de son lit ressemblant à présent à un hot dog albinos. Des mèches de cheveux rebelles l’empêchait de voir correctement le champ miné sous ses pieds, n’ayant pas eu le temps de ranger l’ensemble de ses affaires après son départ en vadrouille pour une semaine à New York, dans un petit appartement se trouvant près de Central Park afin de payer un loyer plus raisonnable tout en s’offrant une bonne marche journalière afin de conserver la ligne. Pas bête la guêpe, ce n’était pas le journal qui allait payer l’ensemble de ses frais de déplacement. Reprenant sa route tortueuse, elle attrapa au passage, les vêtements qu’elle s’était soigneusement choisis pour l’occasion avant de s’engouffrer dans la salle de bain. Une bonne douche ne pourrait que lui faire le plus grand bien.

    Après une demi-heure, elle était enfin prête à sortir de son petit monde habillée simplement d’un tee-shirt bleu marine, dont les manches étaient inexistantes, un jean de couleur bleu clair et des baskets de ville noires. Ses cheveux restaient détachés, glissant le long de ses épaules. Ainsi dissimulée par sa chevelure, elle pourrait passer plus facilement entre les mailles du filet. De plus, si Judy avait choisi un sweat-shirt avec une capuche, l’attention se serait posé directement sur elle, interrogeant l’esprit des passants qui la croisaient en chemin. Bien qu’il y ait un soleil radieux, la température restait tout de même basse, elle noua sur ses hanches, un gilet fin en laine de couleur bleu pour le placer sur ses épaules si elle avait froid au court de sa promenade. La voilà donc paraît pour une excursion dans le grand espace vert peut être même le plus beau de la ville. Qui sait ? Elle n’avait pas encore eut l’occasion d’en faire le tour, elle y trouverait certainement des lieux sympathiques. Pour l’heure, chaque chose en son temps. Elle prit ses clés, ouvrit sa porte avant de la refermer, descendit les escaliers –son appartement se trouvait au 4ème étage- avant de sortir enfin à l’extérieur. Son sourire restait figé sur son visage, tendis que ses yeux recherchés la moindre petite parcelle de vie aux alentours.

    Plus vite elle suivrait les pas d'un groupe plus en se sentira en sécurité. Marchant à un rythme normale, elle traversa la route qui séparait son immeuble du parc avant de fouler le sol sableux comportant des gravillons blancs pour la première fois en plein jour. L'espace vert était imposant par ses nombreuses espèces de fleurs, d'arbre, minutieusement décoré pour attirer le regard tout en proposant de nombreuses places pour une détente bien méritée au soleil. Après une dizaine de minutes de marche, la demoiselle se retrouva sur l'herbe, près du lac disposé au centre de celui-ci. Autour d'elle, un couple se tenait par la main se murmurant quelques mots doux pour rendre leur journée plus romantique, deux enfants jouaient ensemble, leurs parents les surveillaient de près pour ne pas les perdre. Plusieurs jeunes filles faisaient leur footing dans des tenues très légères attirant les regards mal avisés de pervers en tout genre. En même temps, elles le cherchaient bien en s'habillant de la sorte, chose que la demoiselle avait du mal à comprendre. Assis à l'abri d'un arbre, un homme regardait les environs et semblait retenu par ses pensées. Lorsqu'elle eut terminé son panoramique, deux jeunes qui jouaient non loin d'elle au frisbee, lancé cette chose verticale en plastique, volant sur l'air avec grâce et force tendis qu'ils s'amusaient à le récupérer en faisant quelques acrobaties. L'un des deux, un pu trop prit dans l'action, lança l'objet bien trop loin pour que son ami puisse le récupérer. Par contre, le frisbee arrivait dangereusement en direction de la journaliste. Pour elle ce n'était qu'un objet volant non identifié pourtant, elle voulait le récupérer à tout prix, sans savoir pourquoi. Cela semblait amusant. Elle prit donc son élan tout en suivant le dit objet des yeux sans se rendre compte que sa course l'amenait dangereusement près d'un sportif qui espérait réaliser son jogging tranquillement. Lorsque le frisbee fût à sa portée, elle le prit en main, par la même occasion, se prit l’arbre qui arrêta sa course effrénée avec une belle bosse à la clé. La demoiselle avait fermé les yeux et lorsqu’elle les ouvrit de nouveau, son regard se posa sur l’homme qu’elle avait renversé lors de sa chute. Elle tenait d’une main l’objet en plastique qui s’était positionné sur le haut de sa tête, tendis que son autre main était posée sur l’herbe sèche. La situation était totalement ridicule, la mettant dans une situation plutôt embarrassante. Judy se releva précipitamment, pour laisser sa liberté à l’inconnu dont le quotidien venait d’être légèrement modifié par une tornade.


    « Exc… excusez-moi. Vous allez bien ? Rien de casser ? Je n’ai rien … enfin il me semble»

    N’ayant pas les moyens de payer un avocat si celui-ci avait été blessé par sa faute, elle prenait note de sa réponse pour savoir si elle devait filer très loin d’ici pour protéger ses intérêts. Ses yeux fixèrent ceux de l’homme dont elle ne connaissait rien pour lire sur son visage si une douleur apparente venait de prendre racine. Les deux jeunes arrivèrent en courant vers elle pour récupérer leur bien, ayant assisté à la scène d’un air amusé avant de repartir ni vu ni connu pour reprendre en paix leur activité. Sous le choc de la collision, une partie du contenu de son sac se déversa sur le sol humidifié par la rosée matinale. Ce fut avec hâte qu’elle ramassa les ébauches de son futur articles ne s’attardant guère sur la numérotation de ses gribouillis. La mise en forme n’avait pas eu lieu. Seul des bribes d’informations farfelues furent listées sur les quatre coin de la feuille sans le moindre sens entre eux.

    « Ecoutez, je viens de vous pourrir l’existence en à peine 5 secondes mais j’espérais très sincèrement éviter toute la paperasse d’un quelconque procès alors hum … de simples excuses écrites vous suffirez ? »
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Kyle Sanders
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Kyle Sanders


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MessageSujet: Re: À quoi bon rester enfermé à déprimer   À quoi bon rester enfermé à déprimer EmptyMar 13 Oct - 3:25

    [ Désolé, vraiment, manque totale de temps et d'inspiration. Mais voilà avec du retard ]


    « Exc… excusez-moi. Vous allez bien ? Rien de casser ? Je n’ai rien … enfin il me semble. »

    Kyle, assit au sol, fit mine de vérifier le tout à tâtons et, secoua la tête de gauche à droite. Il n’avait rien, un peu bouleversé de la collision mais sinon, tout va. L’homme leva finalement les yeux vers la jeune femme se sentant quelque peu observé par les alentours. Kyle observa l’objet de son front à front, un frisbee. Un malheur disque de plastique d’une couleur douteuse. Intérieurement, il trouva la scène amusant et il en garderait un franc souvenir.
    Lorsque la jeune femme entra en collision avec lui, Kyle ne vis rien arriver. Assit au sol, il arqua un sourcil avant de retirer les écouteurs de ses oreilles. L’homme se releva un genou a terre et entrepris d’aider la dame à ramasser ses papiers. Il les lui remit et laissa échapper un soupir amusé.


    « Écoutez, je viens de vous pourrir l’existence en à peine 5 secondes mais j’espérais très sincèrement éviter toute la paperasse d’un quelconque procès alors hum … de simples excuses écrites vous suffira ? »

    « Écoutez! Vous allez bien et je n’ai rien. De plus, je suis aussi fautif. J’aurais dû regarder où se mettais les pieds. Je m’excuse également. Et sincèrement, je ne crois pas que nous ayons besoin d’excuses écrites pour un procès qui n’aura jamais lieu. »

    Kyle n’avait pas haussé le ton et était resté calme du début à la fin. Pourquoi s’énerver? Elle avait voulu faire une bonne action en attrapant le disque fluo des enfants et lui n’avait tout simplement pas regardé où il mettait les pieds. Cela arrivait souvent depuis quelque temps. Tout cela reprendrait sa place en temps et heure. Après avoir redonné les papiers de la jeune femme, il se releva tranquillement. Par le fait même, il fit un bilan rapidement de se qui aurait pu être des zones sensibles. Rien à signaler! L’homme passa une main pour se débarrasser, inutilement, de la mince rosé sur ses vêtements. Gardant toujours son regard clair sur la jeune femme, Sanders enroula le fils de ses écouteurs autour du lecteur et le changea de main pour finalement le faire disparaître dans l’une des poches de son pantalon. L’ancien tireur lui offrit un mince sourire amusé par la situation qui avait prit une drôle de tournure. Véritablement, aucune chance de s’ennuyer dans Manhattan. Au moins, cette jeune blondinette avait mit quelque peu de lumière dans cette journée qui s’annonçait ennuyeuse à mourir. Jeu de mot, qui lui fit perdre rapidement son sourire. Certains mots devaient être bannis de la langue. Ils bouleversent le cœur et détruit l’âme de ceux qui l’on vécu. Décidément, après se jogging fort mouvementé, il irait prendre un bon café devant une émission banale. Kyle revint rapidement à la situation et détourna le regard. Question de voir qui et quoi se passaient aux alentours. Finalement, il laissa un soupir muet franchir le seuil de ses lèvres et leva la main vers Judy;

    « Kyle Sanders, se présenta t-il, et vous êtes?, poursuivit-il sur une même lancée.

    Question de politesse sans doute. Après tout, sa journée à elle aussi, avait été fracassée en a peine cinq secondes. Il lui devait même plus que de simples présentations. Peut-être même qu’elle en aurait rien à faire et qu’elle l’enverrait balader en moins de quelque secondes. Ou peut-être ferrait-elle preuve de politesse et répondrait avant de partir sans se retourner. Si seulement, il avait une méthode miracle pour lire dans la tête des gens. Malheureusement, fiction et réalité ne font jamais le même chemin ou bon ménage, comme le dirait l’expression.

    « Heumm … Je pourrais peut-être vous offrir un café ou heumm… quoi que se soit. Je suis tout de même fautif. Mais, bon, heumm … Si vous êtes prise ailleurs, je comprends. »

    Kyle Sanders avait parlé que très peu a des femmes n’ayant jamais vraiment le temps pour le faire. Ou peut-être était-il simplement nerveux de nature avec elle. Peu importe, il les avait en respect et voilà tout se qui comptait.
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