Michael Karnes U.C

NE LE (AGE): 18/06/1978
A : Pittsburgh
VILLE DE DOMICILE : New York
ETAT CIVIL : Divorcé
PROFESSION (précisez) : Inspecteur de Police.
NATIONALITE : Américain.

Répondez simplement à chacune des questions suivantes.

• Motivation
POURQUOI AVEZ VOUS CHOISI DE TRAVAILLER A LA POLICE ? A QUAND REMONTE CETTE ENVIE OU CE CHOIX ? : Aussi loin que je peux me souvenir je n'ai jamais vraiment voulu intégrer les forces de l'ordre. Quand j'y réfléchis bien pour moi c'est juste un choix par défaut... j'ai décidé de me lancer dans cette voie après avoir fait ma première année à l'université, en histoire, mais celle-ci n'a pas très marché. J'ai très vite compris que les études n'étaient pas faites pour moi et que je préférais faire quelque chose avec un peu plus d'action. Et donc en y réfléchissant très rapidement j'ai eu deux choix qui se sont mis devant moi, celui de l'armée et de la police. Et là ce fut très facile à départager car je ne voulais pas suivre les traces de mon père. C'est ainsi que je me suis retrouvé dans la police de Chicago après avoir fait mes deux ans de formation à l'école.


• Carrière
VOS RELATIONS AVEC VOS COLLEGUES ? ETES VOUS DU GENRE SOLITAIRE OU BIEN AIMEZ VOUS TRAVAILLER EN EQUIPE ? : C'est très simple, Michael a rapidement compris qu'il y avait une règle d'or dans la police : il faut bien s'entendre avec tout le monde et surtout faire son maximum pour ses coéquipiers car c'est peut-être l'un d'eux qui se positionnera entre vous et la balle qui vous était destiné. Quand on est sur le terrain on ne sait jamais ce qu'il va se passer donc on est toujours plus rassurer de savoir qu'il y a des gars qui n'hésiteront pas à venir nous sortir de la mer**.
Donc Michael s'applique à toujours être le plus possible à l'écoute de ses collègues, tout en leur demandant si tout va bien dans leur vie même si la plupart du temps il n'en a rien à foutre, c'est histoire d'être poli. Il a déjà assez de mal à gérer sa vie personnelle et sa vie professionnelle pour devoir écouter les problèmes des autres.

VOTRE EXPERIENCE LA PLUS MARQUANTE :
Ce n'est pas vraiment une expérience que j'ai vécu moi-même, c'est plutôt une scène à laquelle j'ai assisté qui m'a vraiment marqué. C'était lors de mes premières années dans un commissariat dans l'une des zones les plus malfamées de la ville de Pittsburgh. Ce jours il y avait une affaire dont tout le monde parlait chez nous, c'était le viol puis le démembrement d'un enfant de 9 ans... l'image de ce gamin, ou plutôt ce qu'il en restait, a dû marqué tout les policiers présents à vie. Heureusement les enquêteurs réussirent à arrêter le coupable, mais le soir-même de son arrestation celui-ci fut passé à tabac par l'un des policiers en plein dans sa cellule. Au final la police des polices arrêta l'enquêteur qui était coupable, celui-ci avait une famille... mais la mort de ce gosse fut la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, et il a pété un plomb, chose que redoutent tout les policiers. Cet enquêteur se tira une balle dans la tête lorsqu'il apprit qu'il allait perdre son travail et être mis en détention... il n'avait plus la force de continuer, et surtout il n'avait plus la force d'affronter le regard des autres ainsi que celui de sa famille pour laquelle il avait tellement honte... C'est quelque chose qui m'a marqué à vie. Surement que ce souvenir est l'une des causes de mon divorce.

VOTRE EXPERIENCE QUI FAIT VOTRE FIERTE :



• Mise en situation.

La journée commence puis se terminer pour laisser place à une autre journée en laissant à chaque fois une impression de déjà vu. Chaque personne était remonté comme une horloge pour fonctionner d'une certaine façon, tout le monde effectuait les mêmes gestes à la même heure chaque jour après s'être levé du lit, et Michael confirmait cette règle. Et donc c'est après la quotidienne bataille dans le métro qu'il se retrouva installé derrière son bureau, assis sur sa chaise avec pour seul jouet : des dossiers étalés sur tout le bureau... des photos de cadavres... des rapports de la morgue... des messages... au final une journée de merde.
Il ne savait même pas par où commencer. Cela faisait quelques mois que la criminalité avait grimpé d'un coup, et avec eux c'était la paperasse de l'administration qui avait énormément augmenté. A croire que les policiers étaient là pour remplir des plaintes et des dossiers, et non pour empêcher les criminels de faire des délits qui amenaient à devoir faire ces maudits dossiers. Le temps passait et le café commençait à manquer dans sa tasse, obligeant Michael allait à en rechercher à chaque fois car comme tout les policiers, il était devenu accro à la caféine, obligatoire pour tenir le coup dans ce métier, surtout en ce moment.
Il se leva de nouveau de sa chaise mais cette fois-ci pour se rendre dans les toilettes, un instant il laissa ses yeux se plonger dans le miroir afin de s'observer un peu... les cernes avaient pris une place importante sous ses yeux... toutes ces nuits où il n'arrivait plus à dormir. Il fit couler de l'eau et en mit dans ses mains pour arroser son visage, durant quelques instants il resta ainsi, laissant couler les gouttes d'eau sur sa peau. Cela lui fit le plus grand bien, puis soudain il entendit la voix du chef l'appeler. A sa sortie des toilettes il fut soulagé d'apprendre qu'il était de surveillance aujourd'hui en compagnie d'un bleu.

C'est ainsi qu'il se retrouva installé assis au côté d'un jeune homme dont le visage n'était pas encore marqué par les années de merde quotidienne qu'il allait connaitre dans un futur proche... on pouvait même encore voir de l'innocence et de la naïveté dans ses yeux. Dans un an tout ça aura disparu, le policier heureux de servir la population aura laissé place au policier faisant simplement son travail sans penser au lendemain, en sachant qu'au final ce ne serait jamais le bien qui gagne. Tout d'un coup Michael sortit de ses pensées car son regard se braque sur une bande armée traversant la rue devant eux, une croix gammée sur le bras droit de l'un des individus armés dans une rue à majorité noire lui permit de tout de suite comprendre ce qu'ils allaient faire... un carnage. Le jeune policier semblait lui aussi avoir compris qu'il fallait intervenir le plus rapidement possible pour ne pas leur laisse le temps de répliquer... trop tard à quelques dizaines de mètres d'eux une famille noire se balade, la première de leur cible... il fallait les en empêcher. Et l'instinct de la jeunesse fut surement ce qui leur permit de survivre car le jeune collègue de Michael avait appuyé sur l'accélérateur pour placer la voiture entre les civils et es hommes armés. Mais ces dernières ne prirent pas le temps de comprendre et commencèrent à tirer sur la voiture de laquelle sortit Michael en tirant le jeune par le col pour le sortir lui-aussi par la porte du côté passager... Mais le temps de poser ses yeux sur le garçon et il vit que son corps était inanimé. C'était vraiment une journée de merde...
On pouvait déjà entendre les renforts arrivés, mais la bande d'armée était déjà trop loin, partir se réfugier le temps que tout se calme pour repartir ensuite continuer leur carnage... C'était vraiment la merde en ce moment.

Nous vous demandons, en une trentaine de lignes environ, d'écrire la réaction de votre personnage face à la situation suivante : Cette rafale soudaine et importante de délits en tout genre fait des ravages dans le pays, vous êtes submergés de travail, et commencez à ne plus supporter la vue des dossiers sur votre bureau. Par chance, votre chef vous envoie faire une ronde dans un quartier à problèmes. Au volant de votre voiture, accompagné d'un de vos collègues, vous arrivez sur les lieux juste à temps : un groupe de délinquants, pistolet à la main, menace de tirer sur la foule. Que faites vous ? .



AVATAR : Jason Statham
PSEUDO : /
SEXE : Masculin
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? : Forumactif
OBSERVATIONS : Vivement que je me lance sur le RP^^