LUIGI; elles aiment les bad boys ●● FINISH

NE LE (AGE): 6novembre 1983, 26ans.
A : Verona ( Verone ), en Italie.
VILLE DE DOMICILE : The Bronx!
ETAT CIVIL : Célibataire.
PROFESSION : Dealers.
NATIONALITE : Italien et Anglais.

Il n'y a qu'une seul condamnation, mais il faut savoir que Luigi C. a fait beaucoup plus de délit que ça. Mais heureusement, il ne s'est jamais fait prendre.

• Infraction numéro une
DATE DE LA CONDAMNATION : 14février 1886; 16ans.
NATURE DU CRIME OU DELIT : Trafique de drogue.
DATE PRECISE DU CRIME OU DELIT : 22janvier 1885; 15 ans.
NATURE ET DUREE DE LA PEINE : 6ans de prison.
OBSERVATIONS (facultatif) : Luigi a été condamner comme un adulte, mais il a eu le bénéfice du tout concernant l'affaire < Gash > ( affaire pour laquelle il a été arrêté ) c'est pour ça qu'il n'est condamnée "que" 6ans.

Spoiler:

« Ok, j'arrive »
Dit Luigi avec une voix sérieuse et grave, il raccrocha et rangea son téléphone portable dans la poche arrière de son jean blue délavée. Il respira un grand coup, tira une bonne bouffée de sa cigarette, regarda discrètement autour de lui et la balança sur le sol humide pour enfin l'écraser avec ses grosses Timberland. Il devait être 22heures ou quelques choses du genre, quand Luigi sortie enfin du bordel, un lieu qui l'appréciait fortement.

Luigi Clayton était le genre de gars qu'on ne veut surtout pas croisée dans la rue et encore moins le soir. Il avait un regard profond et mystérieux, une démarche lente et sûr, toujours la tête baisée et le visage couvert par sa capuche. Aujourd'hui il n'avait rien fait d'exceptionnelle, mais les choses allez peut-être bouger puisqu'Ava, sa grande amie et surtout sa plus grande cliente, venait de l'appeler pour une dose « spécial fiesta » comme on dit dans le milieu. Une dose « spécial fiesta », était la plus grande dose de drogue que quelqu'un pouvait s'offrir, cette dose pesait 5kilos et valait 400$. Luigi avait toujours dans sa poche de veste, plusieurs sachets de shit et autres produit illicite, au cas-ou. Bien évidemment, pour plus de sécurité, ces petits sachets étaient parfaitement bien cachés dans la double face de sa veste en cuir fétiche. Même si actuellement, étant donnée la commande qu'il avait il ne pouvait pas tout avoir sur lui.

La porte sud de PELHAM BAY PARK. Se répétait Luigi, pour ne pas se trompais, comme la dernière fois. Alors qu'il avançait avec la plus grande discrétion, Luigi sentie une présence derrière lui. Et par présence je ne parle pas de fantôme et toutes ses conneries, non. Il sentait que quelqu'un le suivait et il détestait cette sensation. Luigi commença à accélérer le pas et tout un coup il se retourna, mais il n'y avait personne. Enfin personne d'autre à part ce couple d'amoureux qui s'embrassaient langoureusement. Alors, plus « apaisé » il continua sa marche vers le point de rendez-vous. Mais étrangement cette sensation d'être suivi lui collait à la peau, Luigi qui connaissait ce quartier comme sa poche, accéléra le pas et tournât dans une petite ruelle pas loin d'un vieil immeuble abandonné il y a trois ans maintenant. Il attendit, attendit et tout un coup son téléphone portable se mit à vibrée, il répondît et fit tombée ses clefs.

« Oui quoi ?! » Dit-il sur un ton agressif tout en cherchant ses clefs au sol.
« T'es ou Luig' ? Vite on a besoin de toi ! »
« Je t'ai dit que j'arrivais ! Me rappelle plus, OK »

Quand il retrouva ses clefs qui étaient tombés pile en dessous d'une benne à ordure, il se releva, mais surprise un flic se trouvait face à lui. A ce moment-là, Luigi avait deux possibilités fuir ou tuée. Et bien que tuée ce pauvre officier ( qui était surement un bleu ) aurait été plus facile, Luigi tenais sa capuche fermement sur sa tête et courut aussi vite qu'il put. Arrivée à au moins 15patée de maisons d'où il était, Luigi s'arrêta et respira un grand coup. Il avait le souffle coupé. Jamais il n'avait courus aussi vite de sa vie, et de toute façon jamais il ne re-courras aussi vite que ce qu'il venait de faire. Il avait la tête baisée, le visage rouge, une main posée sur sa cuisse et l'autre sur son coeur. Il regarda tout autour de lui, il avait réussi à le semer et même avec un peu de chance, le bleu n'avait pas vu son visage. Aussi, vite qu'il avait couru, Luigi pris son téléphone et appela Ava, il était très essouffler il parla donc doucement.

« Ma belle, souffle excuse, mais souffle ce soir tu n'auras rien ».

Luigi raccrocha avant même que cette dernière n'eu le temps de lui répondre. Bah oui, sinon elle lui aurait pris la tête et après cette course phénoménal, non merci. Il re-rangea son téléphone, pris un ticket ( et oui on est pas rebelle pour tout ) et se dirigea vers la station de métro la plus proche. Il devait rentrer chez lui, il en avait besoin.