Erin &CIE.

NE LE (AGE): 21 octobre 1987 - 22 ans.
A : New York - USA.
VILLE DE DOMICILE : New York - USA.
ETAT CIVIL : Fiancée.
PROFESSION : Aucune, hormis héritière.
NATIONALITE : Américaine.

Répondez par quelques phrases à chacune des questions suivantes.

• Question numéro une
QUE PENSEZ VOUS DE CETTE RAFALE SOUDAINE ET IMPORTANTE DE CRIMES AUX ÉTATS UNIS ? EN AVEZ VOUS PEUR ? AVEZ VOUS CHANGE VOS HABITUDES FACE A TOUT CELA ? : Ca me stresse mais cela ne me concerne pas. Des morts, des morts et toujours des morts. Évidemment que ça m'effraye, évidemment que je ressens une pointe de tristesse pour les familles des victimes. Je reste humaine, après tout. Mais j'ai l'esprit bien trop occupé et les nerfs bien trop sollicités avec les lettres de menaces que m'envoie mon ex petit ami, Clay. Je dois dire que ce dernier m'effraye bien plus que tout ces meurtres. Après tout, je ne suis pas concernée par cette vague de criminalité, alors, pourquoi aurais je à m'en faire ?

• Question numéro deux
QUEL A ÉTÉ LE MOMENT LE PLUS DUR OU LE PLUS CHOQUANT DE VOTRE VIE ? : Je dirais sans hésiter que la mort de ma mère, lorsque j'avais onze ans m'a beaucoup affectée. Perdre la seule et unique figure maternelle à cet âge ou l'on entre tout juste dans la puberté, ou l'on a plus que jamais besoin des conseils d'une mère - même si j'étais plutôt ingrate et sûrement trop immature pour me rendre compte de la véracité de ses conseils. Ca a été une dure période. Pour moi comme pour mon père. D'ailleurs, je crois que ce dernier ne s'en est jamais vraiment remis. Eleanor était l'amour de sa vie et il n'a jamais pu l'oublier, c'est pour ça qu'il ne s'est jamais remarié. Il ne l'avouera jamais, mais je le connais bien.

• Question numéro trois
QU'EST-CE QUI COMPTE LE PLUS À VOS YEUX ? LE MATÉRIEL OU LA SANTÉ ? VOTRE VIE OU VOS CHAUSSURES ? (SIMPLES EXEMPLES) : J'avoue être quelqu'un de matérialiste. Je suis née riche, j'ai grandi riche et sûrement que je mourrai riche aussi. De fait, mes désirs ont toujours étés assouvis rapidement, et j'ai toujours eu ce que je désirais. Je me connais, et je sais que je suis superficielle et matérialiste, mais je ne peux pas y changer grand chose. Je suis le genre de fille à claquer plus en une après midi de shopping qu'un salarié ne gagne en un mois de travail honorable. Parfois, je culpabilise de dilapider autant d'argent en choses toutes à fait matérielles au lieu de m'en servir pour des causes justes. Mais toute trace de culpabilité s'envole quand je passe devant une paire de Louboutin ou de Jimmy Choo, j'avoue avec honneur.


• Mise en situation. (CIBLES À COMPTES NORMAUX UNIQUEMENT.)
Nous vous demandons, en une trentaine de lignes environ, d'écrire la réaction de votre personnage face à la situation suivante : Depuis deux jours, vous sentez une personne vous observer, vous épier où que vous allez. Une atmosphère pesante s'installe alors dans votre petite vie tranquille. Mais voilà, aujourd'hui vous tombez de haut. Une personne que vous ne connaissez ni d'Eve ni d'Adam vous regarde fixement. C'est alors qu'une lettre vous parvient. Elle vous annonce que vous êtes sur la sellette, qu'un contrat pèse au dessus de votre tête et qu'il ne faut pas espérer survivre. Vous comprenez alors qu'un tueur veut votre 'tête' et qu'il suffit d'un mot pour que vous vous retrouviez entre quatre planches. Quelle sera votre réaction face à cette annonce?.


AVATAR : Keira Knightley.
PSEUDO : Skeezy Vanity.
SEXE : Quelle indiscrétion. (a)
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? : Bazzart.
OBSERVATIONS : S'il y a un code caché dans le règlement, je l'ai complètement zappé parce que je n'ai strictement rien vu du tout. =o

- un ordinaire mardi d'hiver -

Erin regardait autour d'elle, une petite lueur d'énervement luisant dans ses prunelles marrons. Réajoustant un immense sac de shopping sur son épaule, elle jeta un regard à l'enseigne de chez Bendel's luisant dans son dos. Son sac à mains sur l'autre épaule et tentant tant bien que mal de faire tenir son BlackBerry et un cappucino sorti directement du Starbuck's le plus proche dans sa main encore libre. Depuis ce matin, ou qu'elle aille, il y avait cette silhouette dans l'ombre qui la regardait fixement. Toujours.