THE KILLER. finish

NE LE (AGE): 22 . 01 . 1985 (24 ans)
A : Staten Island
VILLE DE DOMICILE : Manhattan, New York
ETAT CIVIL :Célibataire
PROFESSION : Garagiste mais il est souvent chargé de tuer des personnes.
NATIONALITE : Américain, Canadien et Français

Si votre casier judiciaire n'est plus vierge, la partie suivante est à compléter. Le nombre d'infraction est variable, bien entendu, selon les personnes. Il faut un minimum d'une infraction pour avoir un casier judiciaire non vierge, cela va de soi. Ajouter autant d'infractions que vous le voulez.

• Infraction numéro une
DATE DE LA CONDAMNATION : 22 . 10 . 93
NATURE DU CRIME OU DELIT : Viol et meurtre à arme blanche
DATE PRECISE DU CRIME OU DELIT : 13 . 07 . 92
NATURE ET DUREE DE LA PEINE : 7 ans de prison
OBSERVATIONS (facultatif) : L'homme en question est extrêmement dangereux, agressif et a une grande pression sur les femmes. Il arrive à cacher son jeu pendant très longtemps. Il a tué la jeune adolescente de seize ans sans retenue et ce, de sang froid, la tuant devant nos yeux avec un couteau de pêche 5cm.

• Infraction numéro deux
DATE DE LA CONDAMNATION : 25 . 12 . 02
NATURE DU CRIME OU DELIT : Vol à main armée
DATE PRECISE DU CRIME OU DELIT : 15 . 04 . 01
NATURE ET DUREE DE LA PEINE : 16 mois de prison
OBSERVATIONS (facultatif) : Pour une deuxième fois, l'accusé est révélé coupable d'avoir fait un vol à main armée dans une banque. Heureusement, il a échoué et il va aller en prison pour seize mois. Le fusil était un revolver 9mm que l'on retrouve chez les policiers, mais aucunes preuves de cela.

AVATAR : Ryan Reynolds
PSEUDO : Chocolate Brownies
SEXE : Female.
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? : Bazzazou (:
OBSERVATIONS :

Tout le monde rêve de connaître une personne qui nous sauvera de toutes les injustices de ce monde. On rêve de connaître cette personne qui nous fera plaisir jusqu'à la fin de notre vie, mais tout change dans une vie. Ma vie à moi a changée depuis ce viol, c'était mon ex petite amie que j'avais violé, elle ne voulait plus de moi, me trouvant trop étrange à certains moments. Quand les policiers sont arrivés, je ne savais pas trop quoi faire. Je revenais de la pêche, je venais de tuer des poissons avec mon couteau. Ils étaient devant moi et elle, à côté de moi, se tenant loin. Aussitôt que je vis les policiers, je me jetai sur elle sur un instant de folie. Je les avais menacés que je la tuerais. Je l'ai fait. Je me rappelle encore parfaitement tous les moments, tous les défauts du paysage, les problèmes que j'ai causé. Le sol me paraissait si proche, le pouls de mon ex était battait rapidement, ma main droite qui tenait le couteau tremblait comme jamais. Mais le plus étrange c'est que, j'aimais cette sensation. Mais bon, j'ai été remis en liberté sept ans plus tard. Ensuite, vol à main armée. Uniquement que seize mois en m'emmerdant dans ce trou perdu.

Je marchais dans les rues en me remémorant tous ces moments. Bons comme mauvais. Aujourd'hui, j'allais frapper à nouveau. Je n'étais pas un tueur à gage, je recevais des mails sur mon ordinateur me disant que je devais tuer tel ou tel personne. Mais je recevais ces mails tellement rarement que j'avais le temps de faire quelques crimes et retourner vivre ma vie. Je ne suis pas vraiment méchant, je ne veux que des sensations fortes. Le plus étrange, chaque crime que je fais, chaque personne que je tue, ne me crée aucune compassion. Enfin bref, je marchais dans de petites rues simples de Manhattan. Je sentais que quelque chose, que quelqu'un me suivait. Je ne pouvais pas faire grand chose. Je continuais à marcher et lorsque je reconnus ces gestes rapides, souples, comme si la personne connaissait parfaitement la ville, je me retournai avec un grand sourire. Les bras en l'air, comme si c'était un vieux copain, ce qui était pas mal le cas car le policier tremblait devant moi. Probablement un nouveau dans la ville.

« Hé, arrête je ne mords pas. Tu trembles comme une feuille calme-toi. »

J'avançai alors vers l'homme et mis mes mains sur ses épaules. Il les regarda comme si elles étaient empoisonnées, ce qui me fit bien rire. Je craquai mon cou qui commençait à me faire un mal de chien avant d'enlever mes bras et de regarder l'homme dans les yeux. Il tremblait toujours, je mis mes mains dans mes poches et le policier sortit aussitôt son arme. Je ressortis mes mains en riant un peu et les ouvrit. Je n'avais qu'un paquet de gomme dans les mains et le bleu arrêtait pas de trembler comme un idiot. Si il tirait, il toucherait mon épaule, je pourrais me sauver facilement et aller à l'hôpital pour me faire soigner.

« Calme-toi Robin des Bois. Je veux juste prendre une gomme, t'en veux une ? »
- N... non. Je veux juste que tu poses tes mains au sol et que tu arrêtes de parler. Tu vas encore frapper...
« Je ne fais que me promener dans les rues, je ne fais pas grand chose de mal. C'est quoi ton nom ? »
- Je... je m'appelle Arthur. Arthur Bringshood.
« Hé bien, salut Arthur. T'as une femme ? Des enfants ? »
- Je ne suis pas marié. Mais j'ai une petite amie et deux enfants.
« Wow. Tu réussis bien ta vie ... Ça te dirais d'aller prendre une bière ? »
- Je peux pas, je suis en service.
« Oh... dommage. »

J'avançai vers le policier, il avait tellement peur que c'était drôle. Je passai derrière lui et je pouvais voir combien il avait peur de moi. Ce que j'adorais. Je jouais avec mon repas, si je puis dire ainsi. Je pris alors mon couteau qui était dans mon dos et je mis la lame sur le cou du bleu. J'allai ensuite dans une ruelle, ou personne ne pourrait nous voir. Je mis alors ma bouche à son oreille et chuchota un petit truc.

« Tu sais pourquoi tout le monde a peur de moi ? ... Enfin, probablement pas. Je fais peur aux autres parce que je suis imprévisible comme un chat, je suis silencieux, tranquille et je joue avec mes victimes. Enfin, t'es un homme alors je peux pas jouer. Tu diras bonjour à ta petite amie lorsqu'elle va mourir et aussi à tes enfants lorsque leur tour viendra... »

Je tranchai alors la gorge de l'homme avant de le déposer dans une poubelle. La chance était avec moi cette journée-là, car je devais commencer mon crime à partir de l'immeuble juste à côté et, en plus, les poubelles passaient aujourd'hui. Donc pas de mauvaise odeur à endurer. J'enlevai mon manteau et le mis dans mon sac à côté de mon fusil pour ensuite aller dans l'immeuble. Je montai tous les étages pour arriver au toit. L'homme que je devais tuer se trouvait dans l'immeuble en face de celui ou je me tenais. Je sortis un fusil et j'attendis que ma cible se place devant la fenêtre, je mis des balles dans mon fusil et tira. Un bruit sour retentit et plusieurs personnes se tenèrent les oreilles en entendant ce son. Je me levai d'un bond et déguerpis rapidement du lieu. J'arrivai chez moi et mis mon manteau dans la laveuse. En allant sur mon compte e-mail, je regardai mes mails et vis un nouveau message venant de celui qui m'avait donné cette mission. Il avait déposé un sac dans ma cour sous le balcon. Dans le sac, il avait à peu près un million de dollars... Je venais de deux crimes pour un seul, je crois que j'ai battu bien des scores cette fois-ci. En plus, un policier de moins, ce qui était parfait pour moi.

Mais tuer n'est pas nécessaire pour les sensations fortes... L'entraînement, faire du parcours, faire des sports extrêmes, ce sera ma future drogue. Mais j'adore cette sensation de tuer les gens, surtout si je ne me fais pas prendre. Ah... j'adore ma vie !