Roses are RED, Roses are RED [UC]

NE LE (AGE): 14/03/1984, elle a 25 ans.
A : Seville
VILLE DE DOMICILE : New-York
ETAT CIVIL : Celibataire
PROFESSION : Membre de la confrérie, tueuse à gage.
NATIONALITE :Americaine et Espagnole.

• Matériel
ARMES UTILISEES : _ Colt 1911 A1 avec silencieux
_ Un poignard USMC avec son manche de couleur rouge sang.

• Techniques favorites
DISCRETES OU NON ? AIMEZ VOUS MARTYRISER VOTRE CIBLE ? COMMENT AGISSEZ VOUS ?: Lucilda est plutôt discrète en effet. Martyriser ses cibles ? S'amuser avec leur peur ? Très peu pour elle. Lucilda est discrète et son travail l'est également. Elle fait les choses bien et rapidement, elle ne souhaite pas passer son temps sur un contrat, elle a besoin d'avancer et de se débarrasser au plus vite des ordures qui l'entourent. Des ordures de ce putain de monde. Sa technique ? Séduire. Lucilda a ma foi des atouts physique qui ne laisse pas ses contrats indifférents lorsqu'il s'agit d'homme -tous plus faible et ignorant que les autres au passage. Qui se douterait qu'une jolie minette bien roulée est en réalité la cause de la fin de leur vie ? Pas eux en tout cas. Lucilda arrive en jouant de ses charmes à mettre en confiance ses "proies". Ajoutez a cela un peu de bêtises et un air béat et vous pouvez être sur que ces salauds pensent avoir à faire a une petite trainée qui ne comprends absolument rien de la vie. Grave erreur. Erreur fatale même. C'est de cette façon qu'ils finissent gisant dans un bain de sang au final. S’il s'agit de femme, Lucilda change complètement de technique. Elle prend en filature, elle ne laisse pas le poisson filer quitte à rester toute une journée caché, elle ne baisse pas les bras. Il y a cette force de caractère ainsi que cette concurrence qui l'entoure qui la force à se force. Lucilda n'a pas eu beaucoup de cas femmes à abattre et elle doit avouer qu'elle ne s'en plaint pas. Les hommes sont tellement plus crédule, tellement plus ignorant que cela deviendrait presque une véritable blague géante de les exécuter. Vous l'aurez compris, elle trouve ça vraiment, VRAIMENT facile ! Et comme pour montrer que ce fut un veritable jeu d'enfant, Lucilda s'ammuse à signer ses contrats en laissant sur chaque scene de crime un petale de rose rouge de la variété sweethearts. Sa marque de fabrique en quelque sorte.


• Carrière
NOMBRE DE CONTRATS A VOTRE ACTIF ? : 187.
NOMBRE DE VICTIMES A VOTRE ACTIF ?: 182, et elle ne veut plus jamais entendre parler des 5 autres victimes qui lui sont passer sous le nez. Elle deteste echouer, que quelqu'un ce soit occuper de SES contrats à sa place la fou en rogne.
SURNOM AU SEIN DE LA CONFRERIE : RED, pour ses vetements et la couleur de son poignards qu'elle a toujours sur elle a defauts du Colt.


• Mise en situation.



En cette chaude soirée d’été, toute la famille avait décidé rester à la maison pour déjeuner et profiter de la petite brise qu’accompagner les derniers rayons de soleil de la journée. Les parents se trouvaient en bas dans la cuisine, Carmen, leur grande fille quant à elle était à l’étage et Lucilda, l’adorable petite Lucilda commençait à s’impatienter de ne pas voir arriver sa cousine Alicia qui lui avait pourtant promis de venir pour s’amuser un peu avec elle. Elle avait le choix pour le moment entre retourner dans la cuisine grignoter un peu de ce que préparait sa mère, au risque de se faire couper les doigts et rester avec sa grande sœur mais elle n’eut pas le temps de prendre sa décision. Qu’une autre idée lui vint a l’esprit. Si elle était si inutile que ça, pourquoi ne pas foutre la trouille a toute sa famille en se cachant jusqu'à ce qu’il la retrouver. Lucilda, âgé de 12 ans, monta donc les escaliers quatre à quatre pour aller se cacher dans le placard de la chambre de ses parents. Bonne et à la fois mauvaise idée. Lucilda attendit au moins vingt minutes avant qu’une chose ne se produise. Le placard à peine ouvert, elle vit une personne dans la chambre. Une personne qui venait vraisemblablement d’entrer dans la fenêtre. Il lui avait tellement fait peur qu’elle n’avait pas réussit à bouger ou a faire quoi que ce soit. Il avait l’air calme et habitué à ce genre de situation, il avait un visage rond et qui porte à avoir confiance, mais il avait une arme dans les mains. Un colt avec silencieux, le genre d’arme qu’elle ne voyait que dans les films qu’elle adorait regarder avec son papa. Doucement, l’homme sortit de la chambre, sans faire un bruit et tout ça sous les yeux de Lucilda. La jeune enfant apeuré, resta quelque seconde dans le placard. Les larmes commençait a lui piqué les yeux, la fin était inévitable, elle avait atrocement peur, elle ne savait pas quoi faire. Mais ce fut pire lorsqu’elle entendit en bas, un premier coup de feu. Elle sursauta, mais l’idée de ne plus jamais revoir sa famille était affreuse, insupportable ! Elle se précipita hors de la chambre en courant et lorsqu’elle arriva dans l’escalier, elle vit Carmen, sa grande sœur de 19 ans gisant sur le sol. Les yeux encore grands ouvert et le sang coulant de sa bouche. Son estomac se serra et elle vomit tout de suite en voyant ce spectacle. Ses parents, encore en vie, se tenaient à genoux, les poings liés derrière leur dos, les yeux pleins de larmes. Ils ne cessaient de lui crier de s’enfuir, elle n’arrivait pas a bouger, elle ne pouvait rien faire, elle était impuissante. Son regard sauta rapidement de son père à sa mère, bientôt troublé par les larmes, elle continuait de les observer une toute dernière fois en suppliant cet homme sans cœur de les laisser en vie. Il ne bougea pas, il ne la regarda même pas à vrai dire et il n’hésita pas à appuyer sur la gâchette pour mettre une balle entre les deux yeux de sa mère et trois autres au niveau de la tempe de son père. Il lui lança un regard alors qu’elle se précipite vers les corps. Il y avait dans ses regards de la pitié, il était écœuré cela pouvait se voir a des kilomètres et alors que Lucilda s’attendait à mourir elle aussi, il monta les escaliers pour s’en aller de la même façon qu’il était venu. Lucilda resta assise près des corps à pleurer pendant au moins une heure, lorsque sa cousine et ses parents arrivèrent enfin. La retrouvant donc, les vêtements tachés de sang et les joues noyé par les larmes.




Lucilda n’en pouvait plus d’attendre. Cela faisait maintenant plus d’une demi-heure que le garçon de la famille d’accueil dans laquelle elle avait été placée squattait la salle de bain pour fumer ses joints. Elle ne pouvait plus supporter cette ambiance de dégénéré. Elle se tapait au sain qu’une même famille la mère strict et légèrement maniaque dépressive, le père qui ne cachait pas très bien ses attirances refoulés pour les hommes et le fils drogué. Elle avait l’impression d’être tombé dans une quatrième dimension, un sorte de trou noir a l’âge de 12 ans, et de ne plus en être sortit depuis. Comme si c’est trois dernières années n’avaient été qu’une lente et douloureuse descente aux enfers. Parce que oui, ici c’était l’enfer ici. Lucilda n’étais pas une adolescente difficile, comme le disait les nombreux psys chez lesquelles elle avait été envoyé, elle était plutôt incomprise selon ses dire. Personne ne voulait comprendre qu’elle ne désirer pas avoir de seconde famille, personne ! Elle avait vu son sang, sa chair, toutes les personnes les plus importante se faire abattre sous ses yeux, personne ne pouvait les remplacer. Personne avec des faux airs de compassion. Personne qui ferait semblant de l’aimer. Pas cette famille d’accueil en gros. Elle avait souvent eu envie de tout claquer, de crever elle aussi mais quelque chose l’en empêcher. Peut être était-ce la même chose qui l’empêcher de dormir chaque soirs. A chaque fois qu’elle s’apprêtait à faire ou dire quelque chose qui pouvait changer sa vie, elle LE voyait. Son visage sans la moindre expression, ses yeux froids. Elle voyait l’assassin. Lucilda en avait assez de vivre de cette façon. Partagé entre l’envie de vengeance qui la rongé chaque soir et le chagrin, cette entaille au cœur de plus en plus grande chaque jour. Bordel, ce n’était pas sa place ici, elle ne pouvait plus faire semblant. Alors que les parents montaient a l’étage pour voir ce qu’il s’était passé et c’est au même moment que Lucilda sortit comme une furie de sa chambre : « Adios, c’est finis tout ça, faire semblant tout ça. J’en peux plus, Je ne peux plus me forcer ! Finis les consultations chez les psys et toutes les conneries, je vous enlève une sacré épine du pied, vous me dégoutez. Je ne vous supporte plus. A un jour peur être…En enfer probablement. Faites vous soignez ! » Il faisait nuit noire et c’est a l’aventure qu’elle quitta la maison avec un simple sac sur le dos. Elle avançait seule, rapidement en se demandant pourquoi elle n’avait pas pensé à agir ainsi plus tôt. Elle se sentait tellement soulagé qu’elle ne comprenait pas que l’idée ne lui ait pas traversé l’esprit avant ce soir. Lucida ne savait pas ou aller et elle laisser ses pas la porter, ne songeant même pas à trouver un lieu ou dormir. Elle venait de remarquer qu’une voiture la suivait depuis une dizaine de minute et elle se sentait à la fois agacé et angoissé. Mais Lucilda avait beaucoup de culot et elle s’était également beaucoup endurcit ces trois derniers année elle s’arrêta donc de marcher, fit volte face et se dirigea vers la voiture à présent à l’arrêt. Qu’avait-elle à perdre ? Au pire, elle mourait. On meurt tous un jour n’est-ce pas ? Et puis, elle n’avait plus aucune base, plus aucune attache. Elle arriva rapidement à la hauteur de la voiture et elle tapa trois coups sur la vitre tintée. La vitre s’ouvrit, et elle découvrit bientôt le visage d’un homme qu’elle ne connaissait pas. Un homme plutôt âgé et très charismatique. « Je ne suis pas une p*te, vous pouvez faire demi tour et rentrer chez vous retrouver votre femme frigide et vos enfants débiles ». Dit elle hargneuse, ne lui laissant pas le temps de rétorquer, Lucilda repris sa route lorsque l’homme l’appela par son nom et son prénom, d’une voix étrangement calme. Elle s’arrêta net, ne comprenant pas ce qu’il se passait. « Mais vous êtes malades, depuis combiens de temps est-ce que vous m’espionner hein ? Laissez-moi tranquille et oubliez-moi. Il vaudrait mieux, j’ai plus rien à perdre de ma foutue vie, si vous continuez à me suivre, je trouverai un moyen pour que vous arrêtiez… Si vous voyez ce que je veux dire ». Elle avait 15 ans à peine lorsqu’elle insinua pour la première fois qu’elle n’hésiterait pas à tuer une personne. L’homme sorti de la voiture et Lucilda agrippa son sac prêt à en sortir un poing américain qu’un garçon de sa classe avait malencontreusement égaré. L’homme lui parla alors de sa famille, de son histoire, de sa vie et la jeune fille forte se transforma soudain. Lucilda fondit en larme à chaque détail qu’il évoquait, elle avait l’impression de s’y retrouver et de revoir encore la scène, de la vivre une seconde fois. C’était beaucoup trop dur pour elle. Il lui proposait de le suivre, de l’aider à vivre, de s’occuper d’elle, de ne plus jamais parler de ce soir de juillet. Il lui proposer de l’entrainer d’être là pour elle. Il y avait-il une autre issue ? Un autre choix ? Elle ne savait plus. Les yeux embués de larme, elle se contenta d’hocher de la tète et de monter dans la voiture. A cet instant Lucilda mourait et Red naissait de ces cendres.



AVATAR : Eva Mendez
PSEUDO : Mymy
SEXE : Ou pas
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? : Je suis une VIP ! UNE VIP !!
OBSERVATIONS : Est-ce que vous pensez qu'une personne naine, quand elle vient au monde elle est plus petite que les autres bébé ?
Non sans rire, j'aime deja beaucouuuuuuuuuuuup ce forum <3