Abigail is a gangster UC

NE LE (AGE): 15 Juin 1990
A : Boston
VILLE DE DOMICILE : Récemment à Boston, mais vient d'arriver à New York
ETAT CIVIL : Américaine
PROFESSION : Etudiante
NATIONALITE : Américaine & Irlandaise par ses parents.

Répondez par quelques phrases à chacune des questions suivantes.

• Question numéro une
QUE PENSEZ VOUS DE CETTE RAFALE SOUDAINE ET IMPORTANTE DE CRIMES AUX ETATS UNIS ? EN AVEZ VOUS PEUR ? AVEZ VOUS CHANGE VOS HABITUDES FACE A TOUT CELA ? :
Cela ne m'effraie pas, à Boston, cela est monnaie courante aussi. La pègre est dans les lieux et on vit à l'intérieur, dans leur cour, on vit ou on meurt, se sont les règles du jeu ? Et comment j'y ai survécu ? Se serait une bien trop longue histoire à vous conter, mais rien de tout cela ne me dérangera dans ce que j'entreprends pour le moment. Je ne crains pas ces gens, à la moindre menace de mort, je saurais riposter, comme il le faudra.


• Question numéro deux
AVEZ VOUS DEJA ETE TEMOIN D'UN DELIT EN TOUT GENRE ? SI OUI, EN AVEZ VOUS SOUFFERT ? :
Oh que oui et non, cela ne m'a jamais tellement abattu, je vis au jour le jour, je vis des choses stupéfiantes, chaque jours de ma vie, encore pire quand je vivais à Boston. Des exécutions j'en ai vu, des dealers j'en ai connu et encore pire.

• Question numéro trois
SI VOTRE VIE EN DEPENDAIT, PENSEZ VOUS ETRE CAPABLE DE COMMETTRE UN CRIME ? :
Cela aura t-il une incidence si je vous répondais oui ? Si je dois en finir comme ça, alors ça se passera, pourquoi rebrousser ? Il faut savoir se protéger.



• Mise en situation.
Il était vingt-et-une heure environ quand je sortais de mon nouvel appartement. J'avais passé tout cet après-midi à ranger, pourtant j'avais l'impression d'avoir toujours autant de cartons. Dire que j'avais quitté Boston, ma Boston, ma ville que j'aime tant pour New York, sa ressemblait aussi beaucoup à Boston, mais l'ambiance à l'irlandaise manquait dans tout cela. La rue était aussi remplit qu'en plein après-midi, j'avais revêtu un long manteau beige, mes longs cheveux blonds étaient attachés en queue de cheval quand je descendis dans la rue. Le sol était glissant, nous étions pourtant en automne, mais le sol était gelé, un rappel de ma ville peut-être, en tout cas, cela ne me gêna pas, alors que je voyais les gens qui hésitaient, c'était plutôt amusant à voir. Je descendais la rue d'un pas posé, le soleil s'était couché depuis une bonne heure déjà et les rues ne désemplissaient pas, enfin c'était ça La Grande Pomme, une ville qui ne dort jamais. J'avançais, je passais des pâté d'immeubles sans regarder où j'allais, je visitais, quand j'arrivais enfin dans un petit quartier, le coin était plutôt résidentiel, c'était plutôt un coin plaisant, quoiqu'un peu inquiétant, mais j'avais envie de dire que rien ne me touchait, alros j'avançais, quand une bande débarqua, un parc était là, ils étaient quatre, ils marchaient d'un pas décidé, mais surtout pas très content. D'une grande curiosité, je ne pus m'empêcher d'aller y jeter un coup d'œil et voila ce que je vis. Quatre grands gaillards se tenaient là, les mains dans le dos, vous savez comme ces gangsters qu'on voit à la télé ou comme ces mafieux siciliens qui viennent chercher ce qui leur est dû et ensuite vous descendre, eh bien là, sa semblait être ça. Un gars d'une quarantaine d'années se tenait devant eux, l'air pas trop sûre, il tenait une valise et leur parlait tellement vite et tellement bas, que je n'y comprenais rien, mais je les fixais, cachée derrière un buisson le long de la rue longeant ce parc. Soudain, le plus baraqué de ces hommes leva son bras de façon horizontal, l'arme au bout de sa main et d'un geste vif, appuya sur la gâchette, dans un bruit sourd l'homme s'étala sur le sol. Celui qui secondait le tueur attrapa alors la valise en question, ils se retournèrent et partis dans ma direction, probablement pour regagner leur voiture qu'ils avaient quitté quelques minutes plus tôt, alors je m'enfouis entre un mur et le gros buisson d'où je guettais et je les regardais partir, ils semblaient tellement sérieux, je n'avais pas vu ça, depuis que moi j'avais tué cet homme à Boston, vous vous y verrez vous devant une scène pareille ? Je n'étais pas effrayée, non, j'étais comme abasourdie, des souvenirs refaisaient surface peu à peu, mais cela va-t-il continuer alors ?



AVATAR : Evan Rachel Wood
PSEUDO : Catwoman
SEXE : F
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OBSERVATIONS : Le design est extra *O*