Tiens, tiens, comme on se retrouve (pv Abigail Burman)

Tiens, tiens, comme on se retrouve



"La loi nous oblige à faire ce qui est dit et non ce qui est juste." Hugo Grotius

Je rangeais mon portable dans ma poche de jean et regarder autour de moi, je venais de racrocher avec Clay James, Clay est l'un des fondateurs et le président de SAMCRO, le club de motard dont je suis le vice président. En ce moment Clay et moi n'étions pas vraiment sur la même longueur d'onde, je n'approuvais pas certaines de ses décisions et lui n'aimais pas certains de mes actes. Ce n'est pas vraiment étonnons, nous avons tout les deux, deux fortes personnalités ce qui peut expliquer nos fréquents déssacords. Peu importe. Il voulais que j'effectue un peu boulot pour le club à New York, un travail que je ne pouvais pas faire seul, aussi deux autres membres du club allait venir me rejoindre : Tig et Kip, si Tig faisait partit du club depuis longtemps Kip, lui, était un nouveau, un propect, il devait faire tout ce que les membres lui demander sans râler, pas même la possibilité de dire non, cette époque est bien loin pour moi.

Je démarra ma moto est parti rapidement rejoindre mes amis dans la zone industriel de la ville, il m'attendais à l'intérieur d'un van avec des vêtements neutres, des vêtements neutres signifait des activités illégales pour le club, je me gara à côté du véhicule et coupa le contact. Tig sortie et me prit dans ses bras :

Comment ça va mon frère ?

Je souris, "mon frère", nous étions tous une grande famille, tous des frères, des fils, des pères.

Tout va bien, la route à était bonne ?

Ouais...

Tig se mit à me raconter le trajet ainsi que les dernières nouvelles de la maison, ma mère allait bien, elle avait rencontrer mon ex femme dans un magasin et elle en était venu au main, le résultat est qu'elle avait était embarquer par la police. Ma mère était sortie assez rapidement, on avait le chef de la police dans la poche, par contre mon ex femme c'était autre chose, Clay avait demander à ce qu'elle reste derrière les barreaux pour qu'elle se calme.

Mon ex femme est vraiment cinglée !

C'était vrai, mais on avait vraiment pas le temps d'en discuter, nous avions rendez vous tout les trois pour rejoindre le chef d'un gang et quelques hommes à lui, nous devions renogocier les prix pour une vente d'arme, en thèorie rien de dangereux, nous nous respections et nous ne nous menaçions que rarement, mais il fallait toujours être sur c'est garde dans ses moment là.

Environ 30 minutes plus tard.

Le deal c'était bien passer, nous étions parvenu à un accord qui satisfaisait tout les partie, nous nous étions donc quitter en paix, et nous allions continuer à faire des affaires les uns avec les autres. Tig et Kip étaient rester un peu avant de déclarer qu'il était temps pour eux de rentrer à la maison. Après notre séparation je me rendis compte que je n'avais pas manger, et il se trouvait que j'avais très faim, en réaliter j'étais affamer. Je connaissait plusieurs restaurants, je ne savais pas vraiment où aller, je n'avais pas d'envie particulière pour le moment, je remis ma veste de motard, que j'avais retirer le temps de l'affaire. Je démarra et roula quelques minutes, j'avais trouver un restaurant qui pouvait très bien me satisfaire, j'allais mis arrêter quand je remarqua une voiture qui venait de tourner dans le rue à droite, automatiquement je suivit la voiture.

Abigail. La raison pour laquelle je me trouvais à New York, elle nous avait infiltrer, elle avait partis des notre, elle avait était avec moi, à moi. Plus tard j'avais appris qu'elle était flic, une espionne, elle c'était servie de moi et des sentiments que j'avais pour elle pour nous intégrer et nous pièger. Mais nous étions sorti de là sans véritable problème, un problème ou je ne sais quoi dans le dossier, je ne savait pas si elle était au courant que j'était dehors, que je savais tout sur elle.

Elle devait également avoir faim car elle se gara devant un restaurant et y pénétra, je souris, nous allions pouvoir partager notre repas ensemble, je pourrais voir sa réaction comme ça, je pourrais savoir ce qu'elle sait. J'entra à sa suite dans le restaurant et je me m'approcha d'elle par derrière, je murmura :

Tiens, tiens, comme on se retrouve !

Je n'arrivais toujours pas à le croire, malgré cette longue soirée il fallait que j'entre dans le restaurant et que je me dirige vers elle. Pourquoi faire ? Je savais déjà tout sur elle. Un flic. Je réprimais un frisson : j'avais coucher avec un flic, je souris malgré moi : flic mais une jolie femme qui était plus que satisfaisante dans un lit.

Alors ce fut tirailler par ses penser que je m'approchais de la belle, vue de derrière elle n'avait pas beaucoup changer, je souris et murmura quelques mots à son oreille, sa réaction ne se fit pas attendre elle se tourna vers moi avant de me sourire et de me prendre dans ses bras, visiblement elle ne se doutait pas que je connaissait sa véritable identitée, son boulot, le rôle que j'avais jouer malgré moi. Tout en moi hurler vengeance, et je savais parfaitement que si elle n'était pas une femme mais un homme sa vie serait finite. Oui, je l'aurais tuer sans la moindre hésitation, mais voila, c'est une femme, et on ne touche pas aux femmes, voila comment on ma élever.

Je fut bien surpris de sentir à nouveau ses lèvres sur les miennes, elle devais encore être dans son boulot, elle devait se dire "merde, comment je vais m'en sortir" moi même je ne pouvais pas répondre à cette question, terrible question.

Alors raconte-moi ! Comment tu t’en es sortie ?

Je souris, une personne, peut être elle, avait mal fait son boulot, moi et tout les autres étions sortie rapidement de prison avec un long discourt d'un flic nous demandons d'arrêter et de nous calmer pour le bien de tous, qu'elle connerie.

Tu sais, tout c'est flic sont des idiots ! Pas capables de faire leur boulot correctement.

Insulter les siens, voila comment la faire réagir, mais elle était une pro, je n'en doutait pas du tout, je devais réagir autrement.

Tout le monde s'en est tirer sans problème, je te jure, pas de problème. Mais tu vois je suis sur que quelqu'un nous à balançais, je ne sais pas encore qui, mais quand je vais trouver, parce que je trouverais ça tu peux en être sur ma belle, je vais lui faire sa fête. Une super fête même.

Elle savait parfaitement de quoi j'étais capable, je lui sourit tendrement et l'attrappa par le coup et l'embrassa.

Tu as commander ?

Je n'attendis pas sa réponse et fit signe à la serveuse de s'approcher, elle était plutôt mignonne et je la détailla sans la moindre gêne par rapport à la présence d'Abigail.

Alors, je jeta un coup d'oeil sur le badge, Natalie j'aimerais une assiette de poulet fritte et une bière, et toi ma belle tu veux quoi ?

Abby eu un haussement de sourcil quand il critiqua les flics, sa famille d’une façon, bien évidement elle ne devait pas réagir de façon excessive, alors elle se contenta de hocher la tête de haut en bas. Il lui raconta que tout le monde s’en était sortie sans le moindre problème. Ce qui inquiéter Abby, était de savoir comment il s’en était tous sortie. Des tas d’idées traversèrent l’esprit de l’espionne, y avait-il un ripou dans le service qui avait aidé les SAMCRO, un vice de forme ? Elle savait qu’elle avait bien fait son job. Elle le faisait toujours bien, mais une autre question était présente dans l’esprit d’Abby. Les sentiments qu’elle éprouvait pour Jax l’avait il fait faire un faux pas, dans ses accusations, ses rapports, ou tout ce qu’elle avait put voir ou entendre en étant à SAMCRO. Elle avait du mal à y croire et repasser tout en revue, la manière dont elle avait fait son rapport à son supérieur, mais aussi ce qu’elle ressentait quand le motard l’a touchait. Avait-elle omis quelques choses pour le protéger sans s’en rendre compte ? Elle lui caressait le bras tout en écoutant les menaces qu’il proférait à l’encontre de la personne qui l’avait balancé, sur le coup son cœur ne fit qu’un bond : il savait ! Elle n’eu pas le temps de répondre qu’il captura ses lèvres, elle eu l’intention de se débattre, mais oublia cette idée à l’instant même ou elle entra en contact avec la peau de Jax. Et si maintenant le cœur de l’agent de police battait la chamade, cela n’avait plus rien à voir avec la peur. Il lui demanda si elle avait déjà commandé, mais une fois de plus il n’attendit pas qu’elle réagisse pour faire signe à une serveuse d’approcher. Il l’a maté sans vergogne cela déplut immédiatement à Abby. Et la serveuse en profité, style « Regarder moi je suis la future Britney Spears ! » Abby l’a dévisagea, avant de commander à son tour :

Je vais prendre la même chose.

La serveuse continuer de regarder Jax en souriant d’un air aguicheur, alors Abby se trouva obliger d’ajouter :

Ce sera tout !

Comme si elle avait besoin qu’une serveuse vienne se mêler de ses histoires déjà compliqué ! Elle ne savait pas comment s’en sortir, en tout cas pas tant qu’elle n’avait pas parlé à son supérieur pour savoir ce qui se passer réellement. Alors par automatisme elle retrouva le rôle qu’elle c’était forger. La fille sympa qui se cherche et qui ne se laisse pas faire.

Si habituellement elle était une excellente menteuse et arrivait à se débrouillait seule, elle se trouvait face à une impasse et garda le silence quelques seconde, avant de confesser :

Tu m’as manqué ! Je ne pensais pas qu’on allait se revoir un jour !

Le pire dans cette histoire était simple : c’était la vérité ! Il lui avait manqué, son caractère, son sourire, tout chez lui manquer à la brunette. Elle avait toujours trouvé stupide quand elle regarder à la télé les espions qui tombent amoureux de la personne qu’elle devait arrêter. C’est vrai plus d’une fois elle c’était retrouvé à jouer les amoureuses éperdues, et n’était jamais tombé dans le piège. Jax était il différent des autres ? Et ce n’était pas la seule question qui tourbillonnait dans l’esprit de la policière. Que ressentait-elle aujourd’hui pour lui ? C’est vrai il était facile, en tout cas plus facile d’oublier le passer, quand il était derrière les barreaux, que lorsqu’il s’invite au resto avec vous !

Dit moi …

Elle dut interrompue par la serveuse, qui vint apporter les plats, cette dernière tendit une serviette au beau blond ou l’on voyait son numéro. Abby déjà pas de bonne humeur, prit la serviette, l’arracha et balança les confettis au visage de la dénommé Nathalie, froidement elle ajouta :

Casse toi, tu vois pas qu’on est occuper !

Elle allait répondre, mais le regard mauvais de la flic, dut suffire à la faire changer d’avis car elle tourna les tallons et retourna vers le comptoir, où elle discutait avec une autre serveuse. Abby reprit :

Alors dit moi qu’est ce que tu fais à New York ?

Elle espérait que la réponse de cette phrase ne serait pas, je te chercher pour te tuer car je sais que tu es flic ! Elle savait que ce n’était pas dans les habitudes de SAMCRO de frapper les femmes. Mais elle ne put s’empêcher de se demander si il ferait une exception pour un flic. Elle avait après tout, tout fait pour qu’ils lui accordent leur confiance, était devenue leur amie. Parfois même il lui avait confié des choses. Et pour elle et Jax c’était encore différent. Les mêmes questions revenaient en boucle dans sa tête, et elle ne pouvait jamais y répondre. En tout cas pas tout de suite, elle mangea une frite en attendant sa réponse.

Je ne put m'empêcher de sourire à la manière dont Abi regarder la serveuse, serait elle vraiment jalouse ou alors elle jouer à merveille son rôle, aie, j'allait certainement devoir me poser cette question à chacun de ses gestes. Maintenant que je savais vraiment qui elle était je me demandais jusqu'où elle était capable d'aller, même si au fond de moi je le savais parfaitement : la réponse était simple jusque dans ton lit mon pote ! Une fois la serveuse disparu, Abi commença à me parler, mais malheuresement pour elle, cette dernière revient relativement vite avec nos plats et en prime pour moi une serviette avec le numéro de téléphone, elle aurait put être plus discrète, car la jolie demoiselle qui m'accompagner attrapa la serviette et déchira le précieux papier ordonnant par la même occassion à la serveuse de nous laisser tranquille. Maintenant j'étais agacer, je l'aurais bien aimer le numéro de téléphone de cette jolie blonde à forte poitrine, je n'aimais pas passer une nuit seul et ce genre de fille était parfaite pour une nuit, je lui donnerais mon numéro plus tard, non, je lui re-demanderais le siens, je n'est pas envie d'être harceler non plus.

Mon attention se remporta sur Abigail, elle semblait être intéresser par le pourquoi de mon séjour à New York, je souris, toi mon bébé, rien que toi. Bien sur je n'avais pas l'attention de le lui dire, pas tout de suite en tout cas. Mais je n'allais pas lui mentir non plus, après tout je voulais qu'elle comprenne ce qui allait se passer, peut être qu'ainsi elle pourrait m'éclairer car moi je ne savait plus.

En premier lieu je suis venu à la recherche de notre balance, avec le club on à décider de lui faire payer, on ne manque pas d'imagination pour lui faire payer de s'en être prit à nous, après tout on ne s'attaque pas à SAMCRO sans conséquence ! Et puis, on a quelques affaires à régler ici alors je m'en charge en même temps. Et maintenant j'ai une nouvelle raison : toi bébé.

Je lui sourit et bu une longue gorger de bière avant de me mettre à manger, je voulais lui laisser le temps de comprendre mes paroles. Je n'est jamais douter qu'elle était une fille intelligente, elle savait très bien ce que tout cela voulait dire. Mais une question restait pour moi sans réponse : est ce que j'allais être capable de lui faire du mal ?

Et toi ma belle, comment tes arrivés ici ?

Je devait avouer que la réponse m'intéresser vraiment, je souris, alors avait arrêté en même temps que nous, je voulais voir comment elle allait se débrouiller pour me trouvait une explication sur sa liberté, et pourquoi elle n'était pas revenu vers moi au lieu de venir à New York.

Et toi ? Comment tu es sortie de prison ? Il t'on bien arrêter en même temps que nous, non ?

Et voila, à toi de jouer ma belle, je n'imaginais pas qu'elle réponse elle allait bien pouvoir me donner pour se sortir de là. Alors qu'elle allait me répondre je fis signe à la serveuse de nous apporter à nouveau des bières, chose qu'elle fit, je la remercia avec un grand sourire, après tout je pouvais bien me faire plusieurs nanas en mêmes temps, Abi savait que je n'était pas du genre fidèle, même si quand elle avait était dans ma vie je n'avait fréquenter personne d'autre.

Je souris, elle adorait l'idée d'être près de moi, si elle savait que je savait à moins qu'elle le sache déjà et que... J'ai toujours était ce genre d'homme, j'aime réfléchir pour tenter de tout prévenir, chose d'ailleurs complétement impossible mais qui peut s'avèrer utile. En attendant dans le club je suis certainement le moins violent, quoi que, et le plus réfléchit. Je l'observer tout en ne sachant que faire d'elle : un flic te balance tue le ! Mais quand ce flic ce révèle être une petite nana avec qui tu as passer pas mal de bon temps la réponse ne semble plus du tout évident, loin de la en réaliter.

Je ne fut pas vraiment étonner de son récit concernant son arrestation et son soit disant interrogatoire, elle devait avoir été préparer à ce genre de situation. Au fond de moi je détester l'idée d'être une situation pour la jeune femme, Abi avait toujours pour moi quelques choses de fragile, peut être la peur qu'elle cacher très bien mais que je savait existait en elle me donner déjà envie de la protéger de tout et rien en même temps.

Alors comme ça tu penser que les flics ne me ralacherais pas ! Tu penses vraiment que je suis une personne mauvaise qui doit rester en prison ?

J'avais tenter de mettre dans ma voix un peu d'humour pour ne pas rendre la jeune femme nerveuse, chose peut être inutile, tout ressemblait à un immense brouillard, surtout dans ma tête ce qui m'empêcher de réfléchir convenablement à la situation : la protéger, lui faire légérement peur, mais pas lui faire de mal.

Mais au faites comment tu as fait pour me retrouvé ? New York est une grande ville. Et pourquoi tu penses que la balance vit ici ? Moi si j’étais elle je me serai barré à l’autre bout de l’Etat. Et cette personne doit être sous protection rapprocher, ou une connerie dans se style.

Voila une réaction stupide, si je ne savait cela m'aurait mis la puce à l'oreille, je la dévisagea et me saisit de ma bière pour en prendre une longue gorgée. Puis je reposa le verre sur la table avant de lui dire :

J'ai jamais dit que j'était venu à New York pour te chercher !

Ne sachant pas moi même l'étendue des sentiments que j'éprouvais pour elle, je ne pouvais lui laisser penser que j'avais chercher partout après elle comme un gentil toutou, ce qui n'était ni vrai ni faux. La raison de ma recherche était le flic en elle, et je n'avais pas vraiment songer à l'histoire de coeur et de sexe de l'histoire avant de la voir devant moi !

Et puis tu sais pour la balance, peut être qu'elle est sous protection où tout un tas de truc, mais SAMCRO connait du monde un peu partout, et les flics ont une vie tellement pitoyable et misérable qu'ils vont tout nous dire sans le moindre problème !

Je voulais lui laisser du temps pour réagir, mais hors de question de la quitter des yeux, si je la perdais ce soir ce n'était pas sur que je la retrouve un jour. Elle était une jolie biche prise dans mes fard et je ne voulais pas la voir partir au loin pour alerter le troupeau que le chasseur était là pour tous les tuer.

Sa question était pour le moins pertinente et intéressante, il avait un casier judiciaire aussi long que le bras de l’officier de police qu’elle était. Et elle savait à quel point il était dangereux, surtout après avoir lu tout un tas de rapport sue lui et sur le club. Mais quand on ne le connaissait pas grâce à des rapports complets, on ne se rendait pas compte de qui il était réellement. Du club il paraissait le moins agressif, le plus réfléchis, bien sur elle avait était témoins de ses coup de colère. Mais elle savait qu’il n’était pas le pire du club. Et surtout elle connaissait une autre facette de lui, un côté plus tendre, gentil, protecteur, ce côté dont elle était tombé amoureuse, elle finit par répondre :

Je sais que tu n’es pas une personne mauvaise, mais je suis pas flic ! Je sais pas ce que eux pensent.

Elle savait que ce mensonge était audacieux, mais c’était sa spécialité, elle aimer jouer avec le feu, même au risque de se brûler les ailes. Et il parait que plus le mensonge est gros plus il est facile à avaler. Même si elle avait appris à ne pas penser que comme un flic, défaut de nombre d’entre eux, qui du coup ne durait pas en infiltration. Elle se demanda comment lui aller le prendre.

Lorsqu’il lui dit qu’il n’était pas là pour elle, elle se demanda à un moment s’il ignorait tout de son vrai job, ou si ce n’était qu’une ruse. Elle garder le visage neutre, mais son cerveau bouillonnait, elle se demanda ce qu’il aller faire quand il serait, enfin si il l’apprenait un jour, qu’elle était flic. Et la question qui vient juste ensuite fut : Est-ce que je pourrais le descendre si il met ma vie en danger ? La réponse ne tarda pas à pointer le bout de son nez : oui. Elle avait déjà faillit mourir lors de sa première infiltration, et elle c’était promis ce jour là, de ne jamais hésiter à descendre un truand, et c’est se qui l’a maintenait vivante. Elle ne devait surtout pas commencer à douter de ça, où elle se mènerait seule à sa propre perte. De plus il ajouta qu’ils avaient des flics dans la poche, donc certains pouvait avoir dit qu’elle était de la maison. Elle devait essayer d’en savoir plus sur les ripoux, mais elle savait que poser des questions maintenant sur les hommes en bleus qui les aidaient ne feraient qu’éveiller d’autres soupçons chez le biker. Elle prit une frite dans l’assiette du jeune homme, mordit dedans tout en réfléchissant aux différentes solutions qui s’offraient à elle. Elle finit par dire :

Tu sais quoi oublions les flics et toutes cette histoire pour l’instant. Il y a des d’autres choses intéressantes qu’on pourrait faire se soir. Mais je crois qu’il va falloir commencer par quitter ce restaurant. Parce que se que j’ai en tête c’est interdit dans les lieux publiques. Et je veux pas qu’on se fasse arrêter !

Elle compter trainer le beau blond dans un hôtel pas loin, une fois qu’il serait endormie, elle pourrait fouiller dans ses affaires pour trouver peut être des preuves ou des éléments qui l’amèneraient vers le flic ripoux. Bien sur se retrouver seule avec lui était un inconvénient supplémentaire, du fait que si il voulait l’a tué, elle venait de supprimer le problème des témoins, mais elle avait confiance en ses capacités. Et si il lui disait qu’il savait tout elle pouvait toujours essayer le coup du flic ripoux ou le « mais je suis tombé amoureuse et je me suis arranger pour faire capoter l’affaire ». Et si cela ne fonctionner pas elle pourrait toujours le descendre. Elle pencha la tête sur le côté et demanda :

Qu’est ce que tu en penses ?