Abby est là

NE LE (AGE): 25 ans, née le 7 juin
A : Chicago
VILLE DE DOMICILE : New York
ETAT CIVIL : Célibataire
PROFESSION (précisez) : Policier, espion chez les méchants...
NATIONALITE : Américaine

Répondez simplement à chacune des questions suivantes.

• Motivation
POURQUOI AVEZ VOUS CHOISI DE DEVENIR UN ESPION ET DE DEVENIR UNE 'AUTRE' PERSONNE DANS LE CADRE DE VOTRE TRAVAIL ? :
Pourquoi devenir espion ? C'est une bonne question, mais le flic ici c'est moi ! Alors je pose les questions ! Bon d'accord je réponds quand même. C'est bon. Est bien la réponse est simple pour l'action. Je veux être au cœur de l’action, et non pas la lire ou la survoler. Et oui je m'ennuyais ferme dans mon boulot de simple flic, bien sur j'adore courir après les méchants, mais les rapports à taper c'est décidément pas mon truc. Alors j'ai voulue partir, mais mes patrons étaient loin d'être d'accord. Je suis extrêmement douée pour mon travail, je peux dire sans me vanter que je suis un pilier de mon équipe. C’est peut être pour ça que mes boss ne voulaient pas que je parte. A moins qu’ils craignaient que je change de camps pour passer plus de temps dehors et surtout gagner plus d’argent. C’est vrai qu’être flic c’est pas bien payé ! Vous allez peut être pensé que je suis sadomaso, mais j’aime aussi l’idée d’être sur la brèche, et oui le danger me plait. Je trouve ça très excitant l’idée que je puisse être découverte à tout moment. Et puis en plus quand j’étais gamine j’adorais jouer aux gendarmes et aux voleurs, et je n’étais toujours pas dans le même camp. Alors ça m’aide, et je crois que d’une certaine façon je comprends la façon de penser des truands et des assassins.

Le plus dure dans mon métier, je crois que la plupart de mes collègues vous diront mentir à toutes les personnes qui nous entourent mais moi ça ne me dérange pas. Ne plus savoir exactement qui on est au réveil ne me dérange pas non plus. En faites ce qui me dérange le plus, c’est l’idée de me plaire dans se monde. Et oui, l’idée d’avoir plus de liberté c’est vraiment waouh. L’idée d’avoir ce que je veux, quand je veux, est génial. J’ai peur qu’un jour ça me plaise trop et que je n’ai plus envie d’être un flic. Et de devenir une vrai méchante.

Dans une carrière de flic il y a des tas d’expériences marquantes, notre première arrestation, notre première fusillade, notre première blessure par balle ou par arme blanches... Mais je dois dire que ce n’est pas ces expériences qui m’ont le plus marqué. En faites c’est toutes une affaire, à l’époque je n’étais pas encore espions. Alors vous voyez ça remonte, mais il m’arrive parfois de me réveiller en pleine nuit et de relire mes notes, en buvant de la vodka. Vous voyez chaque flic à des types d’affaires qui leur reste en travers de la gorge. En ce qui me concerne se sont les disparitions, les meurtres et les viols d’enfants, se sont des crimes que je ne supporte pas. J’ai été amené avec mon collègue de l’époque Griffin Miller, excellent flic au passage, à enquêter sur le meurtre d’une petite fille. Son nom était Julia Garber, elle devait avoir une quinzaine d’années, et à était retrouver proche de chez elle, dans les bois, le crane fracasser. L’enquête nous à amener à suspecter la famille, et oui nous avons découvert des pathologies qui nous ont fait penser à des violences domestique qui aurait fini dramatiquement. Mais en réalité c’était pire que ça. La sœur aînée de la victime, Alice était une psychopathe manipulatrice qui à convaincue son petit ami de l’époque, un certain Damien Porter, de violer et de tuer sa petite sœur. Véritable manipulatrice elle avait réussi à convaincre le jeune homme que Julia arrivait à manipuler son père pour que se sois les autres qui se fasse frapper. Persuader que cette dernière disait la vérité et voulant l’a protégé, il à fait ce qu’elle voulait. Il lui à fracasser le crane, mais n’as pas put l’a violé. Nous avons réussi au bout de plusieurs mois d’enquête et après déployer des heures de travail, d’écoute et de recherches, à confondre Damien. Il à finit par avouer l’histoire qu’Alice lui avait raconté. Mais malheureusement nous n’avons pas put arrêter cette dernière à cause d’un souci d’âge, et oui grande manipulatrice elle à tout avouer sans la présence de ses parents. Ses aveux étaient donc irrecevable devant un tribunal, de plus elle nous à accuser de l’avoir brutalisé pour l’a faire avouer n’importe quoi. Elle s’en est donc sortie avec des séances de psy. Cette affaire me reste en travers de la gorge, je sais que cette fille est dangereuse, et elle est toujours libre…

Ma plus grande fierté je crois c’est d’être toujours en vie et que personne ne sache que je suis un espion. C’est vrai j’ai arrêté des tas de méchants et j’en suis très fière, j’ai sauvé des vies et ça me rend heureuse. Mais ma fierté c’est d’être en vie, et d’être une des meilleurs agents dans ma partie. Personnellement je ne vois aucun mal au fait d’être fière d’être une excellente menteuse et manipulatrice, mais je sais que certaines personnes, ne sont pas du même avis que moi. Certains vont même jusqu'à penser que je joue mon rôle d’espion avec un peu trop de zèle.

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Ma première expérience d’infiltration est une chose que je ne n’oublierai jamais, peut être parce que j’aurais put y passer. La mission était simple, je devais juste réunir des preuves qui ferais inculper un fils de riche de trafique de drogue. Son nom est Thomas Lynch, un fils à papa qui vend de la drogue pour s’ennuyer, enfin ça c’est ce qu’on croyait. Je devais d’abord me faire remarquer par un de ses copains et m’incruster discrètement dans sa bande de tarés, fan de sensation fortes. Je me suis donc rendu dans la boite de nuit ou le groupe avait l’habitude d’aller, et j’ai fait en sorte d’être vue, sans pour autant sauter aux yeux de tout le monde. Ce n’est pas très compliquer, vous danser un peu de manière sexy, vous jeter des coups d’œil coquin à certains messieurs et l’affaire est dans le sac. Je n’ai rien obtenue le premier soir, mis à part des mains aux fesses de petit pervers. Mais en aucun la personne de qui je devais me rapprocher, je dois dire que j’étais assez frustrer. Mais je suis rentré chez moi bredouille. J’y suis retourné plusieurs fois, et alors que je commençai à douter de mes capacités, il m’a approché. C’était un soir comme les autres, j’étais persuader de l’avoir loupé, alors je suis sortie du club dans lequel j’avais passé une partie de la soirée. Un type m’a abordé, j’allais me débarrasser de lui de façon définitive, quand Thomas et ses amis sont sortie à leur du club, j’avais entendu dire qu’il aimait jouer les héros. Alors j’ai laissé le type me malmener et en effet il est venu à ma rescousse. Au départ j’ai joué les filles un peu énervé, et sous le choc :

Abigail : Merci, mais j’aurai put me débrouiller toute seule ! Les mecs sont vraiment tous des …
Thomas : Du calme, je te signale, que c’est moi qui viens de te filer un coup de main.
Abigail : Oui, désolée, mais il y a des fois où…
Thomas : Je comprends, je t’invite à boire un verre. Comme ça je pourrais te prouver que tous les mecs ne sont pas des pauvres ordures.



J’ai fait un petit sourire, en penchant la tête sur le côté, le style trop mignon, mais en même temps en plein doute. J’ai finit par accepter et les choses se sont dérouler normalement, on à parler de tout et de rien. Puis on c’est revue, et de fil en aiguille on est devenue plus proche. Mais je ne savais toujours rien de ses activités illégales. Et j’ai commencé à me poser des questions, surtout jusqu’ou j’étais prête à aller pour une affaire. Quels étaient mes limites. Je savais que cette première infiltration allait me montrer certainement mes limites. Puis ce qui devait arriver arriva, nous avons couché ensemble. Puis c’est à partir de ce moment là qu’il commença à révéler sa véritable nature. Il m’avoua tout, dans les moindres détails. Il rit avant de me dire :

Thomas : Et l’argent de mon père me protège, jamais les flics penseront que le fils d’un avocat pourraient être un dealeur ! Qu’est ce que tu en penses ma belle ?
Abigail : Oui, c’est vrai.



Au fond de moi j’étais terrorisé, je venais de comprendre qu’il se pensait invisible et cela le rendait encore plus dangereux, j’ai assisté à des scènes affreuses, pour cumuler des preuves. La police à fait une descente dans l’un des laboratoires ou il devait se trouvait, un matin. Mais ce matin là, Thomas à décider de rester avec moi et il envoya son bras droit au laboratoire. Tous furent arrêté et lui entra dans une colère noire persuader qu’il avait était trahie :

Thomas : Quelqu’un à du tout balancer au flic. Jason t’as une idée de qui aurait put faire ça ?
Jason : Non, on se connait tous depuis trop longtemps, pour faire ça, mais il y aurait bien….
Thomas : Qui ? Dit moi ! Maintenant.
Jason : Abby.

J’étais assise sur le canapé à les écouter discuter en faisant semblant de lire un magasine people. Thomas c’est précipiter vers moi, m’a attraper le bras avant de dire :

Thomas : Tu as dit quelques choses ? Tu m’as balancé mon amour ?
Abigail : Bien sur que non. Pour qui tu me prend ! Bientôt tu vas dire que je suis flic.

J’ai mentie avec aplomb et il connaissait mon humour noir, et mon ironie habituelle, il à rit, et m’a prit dans ses bras, il m’a embrassé et à dit :

Thomas : Si tu me trahie catin, je te tue.

Je savais qu’il était sérieux, et je n’attendais qu’une chose c’était de voir mes collègues le coffrer, je savais qu’ils me passeraient les menottes aussi pour ne pas griller ma couverture. Mais je m’en fichai, j’aurai réussi et c’était tout ce qui comptait.

Thomas : Tu vas me prouver que t’es pas un flic Abby, fais toi un flash.



Je l’ai regardé étonner, jamais de ma vie, même avant d’entrer dans la police je n’avais prit de la drogue, mais fou comme il était, il n’hésiterait pas à me tuer si je ne le faisais pas. Alors j’ai prit une ligne de cocaïne. Il du en être satisfait parce que lui et Jason quittèrent la pièce, bien évidement je recracher tout ce que je pus. Me promettant de demander à la DEA des conseils au cas où je me retrouverais encore dans se genre de situation. Le lendemain matin une descente de police eu lieu à son domicile, il à penser que j’en étais responsable et alors que la police fouillait la maison il m’a étranglé. Je n’ai presque pas réagis, je paniquais et suffoquai, mon cerveau ne m’envoyai aucune information, rien ne m’ordonnai de me défendre, j’ai crut que j’allais mourir. Mais un des policiers est entré dans la chambre et l’a trouvé, il l’a arrêté, et m’a également passer les menottes. Pour que Thomas pense que je n’étais pas la trahie.



Lui à était derrière les barreaux, tandis que moi j’ai était à l’hôpital, puis je suis retourné au poste de police pour faire mon débriefing. Au jour d’aujourd’hui je sais une chose, je n’hésiterai pas tuer la personne qui me menace. Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas réagit, c’était stupide de ma part, mais aujourd’hui je ne me suis plus jamais faites avoir, je rend coup pour coup.