ELENA W. ♥ chantier terminée

Répondez simplement à chacune des questions suivantes.

• Motivation
POURQUOI AVEZ VOUS CHOISI DE TRAVAILLER A LA POLICE ? A QUAND REMONTE CETTE ENVIE OU CE CHOIX ? :« Question peu pertinente » dit-elle en souriant. « Et bien c’est de famille tout ça. Mon père était flic, et puis j’ai toujours eu cette petite manie de mettre mon nez un peu partout. Même dans les affaires de mon père lorsque j’étais gamine je regardais dans ces dossiers lorsqu’il travaillait tard, et je trouvait ça tellement passionnant. Arrêté les méchant c’est quelques chose d’assez excitant, et puis on préfère arrêter les méchants plutôt que de rester dans son coin et attendre patiemment que le méchant vienne à nous et détruise notre vie. Je préfère être active plutôt que de laisser les choses se faire. En gros je veux être flic depuis que je suis toute petite, vous savez lorsqu’on est petite fille et qu’on voit son père sortir de la maison affublé de son habit de flic ça te rend fière, fière de ton papa. Et puis tu te dis qu’un jour toi aussi tu portera cet habit pour qu’à son tour il éprouve de la fierté. Mais il faut savoir que les choses ne se passent jamais vraiment comme prévu. Mon père est mort, et ça n‘a fait que renforcer mon envie d‘être flic, je ne serais pas celle qui sera là au mauvais endroit au mauvais moment, je serais maître de ma vie et de mon destin, et je pense qu‘ en étant flic j‘y arriverais. »

• Carrière
VOS RELATIONS AVEC VOS COLLEGUES ? ETES VOUS DU GENRE SOLITAIRE OU BIEN AIMEZ VOUS TRAVAILLER EN EQUIPE ? :« Et bien allez leur demander, je pense qu’il sont plus apte que moi à répondre à cette question. » dit-elle laissant échapper un rire. « Et vraiment, ça se passe très bien, oui bien sûr la plus part de mes collègues sont des hommes. Au début quand je suis arrivé il ont tous fait les yeux rond pariant sur ma durée dans ce métier. Ils pensaient tous que j’allais tenir une semaine voir deux grand maximum. Je les ai laissé croire ça, me faisant discrète. Mais ils ont bien vu qu’au bout de deux mois je n’allait pas m’en aller comme ça. Ils ont finit par accepter que je sois des leurs, et puis lorsque je suis sûr le terrain ils en arrive même à oublier que je suis une petite jeune femme qui semble fragile tellement mon regard change d’après eux, je fais même peur à certain moment. » elle laissa échapper un second rire. « Non sans rire tout se passe bien, j’ai aucun problème je m’entend bien avec tout le monde ou presque, bien sûr il y en a toujours pour te détester mais faut pas faire gaffe à eux. Mon père me disais toujours lorsque j’avais des problèmes à l’école « si elles en sont pas capable de voir que tu est une petite file merveilleuse c’est qu’elle n’en valent pas la peine. » A partir du moment ou on se connait, et qu’on sait ce que l’on vaut, les autres ne peuvent plus vous atteindre. » elle finit sa phrase dans un sourire. « Pour ce qui est de mon mode de travail, je pense que la travail d’équipe c’est-ce qui marche le mieux, lorsque l’on travaille seul il n’y personne pour vous couvrir, personne pour vous dire de faire attention, personne pour vous relever en cas de chute, et surtout personne pour vous rassurer, et vous conseiller. Y a rien de mieux que le travail fait en équipe. »

VOTRE EXPERIENCE LA PLUS MARQUANTE :« Mon expérience la plus marquante ? Je vais pas hésiter une seconde là. J’étais en voiture de patrouille avec mon coéquipier. On a reçut un appel, une jeune femme à appeler la police parce que son fils venait de braquer une arme sur elle, et lui voler de l’argent avec l’aide d’une bande. On a tout de suite penser, à un espèce de défi initiatique pour entrer dans un bande. Cet appel venait d’un quartier plutôt défavoriser de New York, principalement habité par des familles afro américaine, où les gangs faisait partit du quotidien, il est par rare de devoir intervenir dans ces endroits pour éviter un bain de sang entre deux gangs rivaux. On était l’unité la plus proche alors on s’y est précipité, la mère avait l’air de dire qu’il venait tout juste de partir. On en mit pas longtemps à les repérer, une bande de jeune jouant avec des armes dans une ruelle. On est intervenue assez vite après avoir appelé des renforts, parce qu’à deux même face à des gosses c’était plutôt risqué, ils n’ont pas froid aux yeux. Je me suis occupé sans vraiment le savoir du fils en question qui avait pointé une arme sur sa mère, lorsque j’ai vu ses yeux j’ai tout de suite su que c’était lui. Tout les autres avait cette arrogance et cette rage dans le regard, lui était apeuré, l’hypothèse du défi initiatique se révélait être bonne. Ce gosse il avait 12 ans, il voulait se prendre pour un grand. Vous savez pour les jeunes qui vive dans ces quartiers, les seuls grands qu’ils connaissent ce sont ceux qui sont dans les gangs, ils ont peur d’eux mais en même temps il les admirent et aimerai pouvoir avoir le courage de tenir une arme dans leur main. Lorsque l’on se rend compte qu’un jeune de son âge était près à tirer sur sa mère pour obtenir le respect des autres bien plus âgé, enfin c’était eux aussi des gamins, ils avait 18, 19 ans à tout cassé. C’est assez effrayant vous trouvez pas ? »


VOTRE EXPERIENCE QUI FAIT VOTRE FIERTE :« Ah ça j’attendais de pouvoir la raconté. » elle sourit. « Un jour j’ai une la chance de travailler avec le FBI, sans qu’il soit là pour vous dire « hey maintenant cette affaire elle est à nous » je peux dire que lorsque ça arrive c’est vraiment frustrant, on y met jusque ses tripes dans une affaire et on nous l’enlève sous notre nez. Enfin bref, on était sur une affaire de crime, au bout de quelques semaines, il s’est avéré que c’était une série de crimes, on a pensé assez vite à un tueurs en séries, mais ce qui était assez étrange c’est qu’il n’y avait aucun lien entre tout ces meurtres, même le mode opératoire était totalement différent, mais moi je m’obstinais à dire que c’était l’œuvre d’un tueur en série, mes supérieurs ne pensait pas que c’était le cas. Mais c’est tout de même assez étrange en quelques semaines tout ces meurtres, tous dans la ville de Chicago. Mais non j’avais forcément tord, puisque le mode opératoire n’était pas le même. Un matin on a découvert un autre cadavre une jeune femme avait été égorgé dans son appartement, c’était vraiment une scène horrible. Et puis d’un coup des hommes en costume impec son arrivé nous brandissant comme on brandit une coupe leur plaque disant qu’ils sont du FBI. J’ai commencer à voir rouge, ils commençaient à dire que cette affaire n’était plus de notre ressort. J’ai commencer à dire ce que je pense, ne pouvant m’empêcher d’hausser le ton leur disant qu’ils n’avait pas le droit d’arriver comme ça d’un coup de baguette magique, sur des affaires et en ignorer d’autres où ils serait tout autant utiles. Et là ils ont tout de suite répliquer qu’ils avait besoin de l’un d’entre nous pour assurer le transfert d’information entre la police et le FBI, et surtout pour leur donner un coup de main pour comprendre cette affaire. Là je me suis dis que j’avais perdu une occasion de me taire. Mais contre toute attente, ils dirent «  Warrick, vous venez avec nous. » J’arrivais pas à le croire. Je pensais m’être grillé totalement en ayant été aussi directe. Mais faut croire que non. J’apportais le dossier leur expliquant tout ce qu’on avait découvert, les hypothèses deux un et des autres. Sans oublier ma propre hypothèse. Je me souviens qu’ils m’ont regardé sans sourciller, comme si c’était évident et m’ont poser la question « et qu’est-ce qui vous fait dire ça ? » Je me suis pas démonter et je leur ai dis « je pense que tant de meurtre au même endroit ça ne trompe pas. » et ils me répondirent «  mais la mode opératoire n’est pas le même à chaque fois. » je répond du tac au tac « j’ai ma petite hypothèse là-dessus, je me suis dis que surement c’est un jeune meurtrier, qu’il ne s’est pas encore trouvé, qu’il ne sait pas quel façon de tuer lui procure le plus de plaisir. Je pense que dans peu de temps il se stabilisera, le truc c’est faut -il pendre le risque d’avoir une preuve matériel, ce qui implique d’autre meurtres ? » J’avais raison, et lorsqu’on boucla l’affaire après avoir arrêté ce taré, le chef de l’équipe du FBI qui travaillait sur cette affaire, m’a dit « vous avez tout d’un agent du FBI », c’est ma plus grande fierté. » elle sourit.


• Mise en situation.





Une journée comme les autres dans les bureaux de la police de Chicago. Tous son encombré par le nombre de dossier qui s’y accumule si bien, qu’on ne voit même plus la tête de ceux qui l’occupe. C’est l’effet de la monté du crime aux Etats Unis, si vous voulez voir un super changement c’est soi dans les rues des secteurs défavorisé, sans dans les bureaux de la police. Non pas qu’avant ils ne bossaient pas bien au contraire, mais là c’est juste du surmenage. L’on peu vois une jeune femme à la chevelure d’or se lever de sa chaise, les yeux mis clos, soupirant, tenant sa tasse de café vide dans sa main. Elle se dirige vers la cafetière. Si elle veut pouvoir traiter une bonne partie de ses dossiers elle ferait mieux de boire beaucoup de café, la nuit risque d’être longue, mais ça elle commence à le comprendre ça fait déjà un moment qu’elle ne dort plus beaucoup, le travail, le travail, le travail. Lorsqu’on s’engage à protéger les habitants d’une ville ou d’une autre, on a pas droit à une pause. C’Est-ce qu’elle se disait pour ne pas se décourager. Il semblerait q sa démotivation était parvenue aux oreille de son supérieur qui lorsqu’elle bu la première gorgée de son café chaud, sortit de son bureaux scandant: Warrick, Bennet, en patrouille. Un grand soulagement pour Elena qui commençait sincèrement à ne plus voir en peinture son bureaux remplit de dossiers. Elle prit sa veste et en compagnie de Bennet, elle entra dans la voiture. Lorsqu’elle se dirigea vers le fauteuil du conducteur, Bennet la regarda un peu étonnée:

« Et puis quoi encore je vais pas me laisser conduire par une femme. » il lui fit un clin d’œil et la poussa légèrement pour prendre sa place.

Elle ne mit pas longtemps à protester. Et puis quoi encore elle a bien le droit de conduire quand même, c’est pas parce que c’est une femme qu’elle ne peut pas conduire avec un homme au coté passager. Elle fronça un sourcil avant de lui répondre:

« Qu’est tu racontes c’est moi qui prend le volant, je te ferait dire qu’il y a beaucoup moins d’accident provoqué par des conductrices, allez pousses toi de là. »

Il capitula, tout simplement parce qu’il savait que lorsque Elena à quelque chose dans la tête il ne vaut mieux pas la contredire trop longtemps, parce que la patrouille risque de ne jamais avoir lieu, avec une femme aussi déterminé qu’elle. Elle pris donc place côté conducteur et lui passager. Elle mit le contact puis mit en route l’autoradio. Ils se dirigeaient au son de Asher Roth, I love college, vers un quartier à problème de Chicago, pour le moment ils n’étaient pas encore dans le quartier, ils savaient donc qu’ils pouvaient hocher la tête au rythme de la musique et se risquer à quelques vocalise. Mais lorsqu’ils arrivèrent aux abord du quartier se n’étais plus la même chose Elena coupa directement la radio, et avançait plus doucement, regardant bien tout autour d’eux, restant vigilant. Pour un flic entrer dans ce quartier ce n’est vraiment pas sûr, mais c’est leur boulot d’assurer la sécurité des habitant de ce quartier. Ils arrivèrent au cœur du quartier entendant des cris des coups de feu, ni une ni deux les voilà qui sautes de la voiture juste après avoir appeler des renforts. Arme à l’appuie il se dirigent vers l’endroit d’où venait les coups de feux. Elena identifie tout de suite qui sont ceux qui foute le bordel, c’est une bande de jeune délinquant qui sont assez habitué aux gardes à vues. Jusqu’ici ils n’avait pas encore fait de trop grosses bêtises, mais là c’était différents il terrorisaient la foule tirant n’importe où un sourire sadique sur le visage. Elena et son coéquipier n’attendirent pas une minute de plus au risque qu’il y ai quelqu’un de tué, il se mirent à découvert scandant « police, jeter vos armes à terre. » Bien sûr ils n’obéirent pas, et l’un d’entre eux pointa son arme vers le coéquipier de Elena, elle ne lui laissa pas le temps de tirer qu’elle tira en plein dans sa jambe ce qui le mit à terre et lui fit perdre son arme, sans oublié que ça lui avait fait une de ces peurs, si bien qu’il ne se risqua pas à la ramasser. Au même moment les renforts arrivèrent, et Elena se jeta sur le jeune qu’elle venait de blesser à la jambe:

« Allez c’est finit maintenant, vous avez droit de garder le silence tout ce que vous direz pourra être utilisez contre vous durant le procès. » la formule habituelle qui avait été répété par chacun des policier qui emmenait un des délinquant.

Elena souriait, ce soir c’était une bonne soirée, il n’y avait eu qu’un blessé léger une petite égratignure une ambulance venait d’arriver pour le soigner. Rien de grave n’était arrivé elle avait contribué à remettre un peu d’ordre, en tout cas au moins pour ce soir. Mais ce qui la rendait encore plus souriante c’est que ce sentiment de surmenage, se sentiment de ne servir à rien enfermer dans son bureau à traiter des tonnes de dossier, elle ne l’éprouvait plus et était prête à retourner à son bureau. Rien ne vaux une bonne patrouille aussi dangereuse soit-elle pour se souvenir pourquoi on fait ce métier, et qu’il n’y a pas que des bons cotés dans un métier.



AVATAR :christina ricci
PSEUDO :panic garbage!
SEXE :F.
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? :bazzart
OBSERVATIONS :rien à dire juste magnifique forum.