Donna Kernan-Calden - I\'m Watching You (Terminé)

NE LE (AGE): Née le 19 avril 1978. Elle a donc 31 ans.
A : Savannah, GA
VILLE DE DOMICILE :New York
ETAT CIVIL :Mariée
PROFESSION (précisez) : Agent de La CIA secteur espionnage.
NATIONALITE :Américaine

Répondez simplement à chacune des questions suivantes.

• Motivation
POURQUOI AVEZ VOUS CHOISI DE TRAVAILLER A LA CIA ? A QUAND REMONTE CETTE ENVIE OU CE CHOIX ? :
J'ai toujours voulu travailler pour le gouvernement, CIA, FBI peut m'importait, tout ce qui comptait c'était que je puisse donner un coup de main à la société. La justice m’a toujours paru essentielle mais je me voyais très mal avocate, défendre des types sans scrupules que je savais bien entendu coupable, très peu pour moi. J’ai toujours eu une haine inconditionnée pour les criminels en tout genre. Cette vocation était donc pour moi une pure évidence, le reste s’est très vite enchainé, j’ai énormément travaillé pour arriver là où je suis, la CIA s’est ensuite très vite imposé à moi.

• Carrière
VOS RELATIONS AVEC VOS COLLEGUES ? ETES VOUS DU GENRE SOLITAIRE OU BIEN AIMEZ VOUS TRAVAILLER EN EQUIPE ? :
Je m’accommode facilement des deux, tout dépend des affaires en cours, il est quelque fois préférable de commencer à travailler seule sur certaines affaires et ensuite de rassembler le travail. Les coéquipiers sont aussi vraiment très importants. On sait pertinemment que quoi qu’il arrive on peut toujours compter sur eux. Enfin pas sur tous évidemment, certains font preuve d’un peu trop de zèle à mon avis, ils utilisent des méthodes assez barbares selon moi. J’essaye de passer outre et j’ai à l’esprit que mon travail puissent aider des innocents et c’est pour le moment tout ce qui m’importe.
VOTRE EXPERIENCE LA PLUS MARQUANTE :
Ma première fois sur le terrain, c’est plutôt impressionnant, des vies dépendent de vous et vous n’avez aucun doit à l’erreur et c’est assez terrifiant mais en même temps ça vous donne l’impression d’être un super héros qui vient délivrer les gens des griffes des criminels, c’est assez gratifiant et cette première expérience m’a vraiment donné confiance en moi. J’ai pas la chance d’aller souvent sur le terrain mais lorsque j’y vais je jubile.
VOTRE EXPERIENCE QUI FAIT VOTRE FIERTE :
Je dois dire que les interrogatoires me terrifiaient mais lorsque j’ai réussi à faire cracher le morceau à ce sale type, j’étais vraiment fière de moi. Ce salopard ne m’effrayaient pas, j’avais réussi à lui faire dire tout ce que je voulais, je me sentais pousser des ailes et maintenant plus aucuns interrogatoire me fait peur. Je ne perds plus mes moyens et je dois dire que j’adore ça, c’est assez jouissif de réussir à venir à bout d’un criminel d’une telle ampleur.



AVATAR :Kate Beckinsale
PSEUDO :CandyRock
SEXE : On ne se connait pas assez voyons ...
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? :Via une pub sur PRD et comme j'ai reconnue le pseudo j'ai foncé sur BAZZART
OBSERVATIONS : Depuis le temps que je cherchais un forum de ce genre. C'est pas possible d'avoir un aussi bon choix de PV impossible de choisir après. En plus le design gère ... Je vous tire mon chapeau.

• Mise en situation.

Donna paraissait tranquille, elle se trouvait de l’autre côté du miroir sans teint, elle observait la pourriture qui se trouvait de l’autre côté dans la salle d’interrogatoire. Elle n’allait surement pas le laisser afficher ce sourire niait encore longtemps. Elle était plus que déterminée à rabattre son clapet à ce petit enfoiré. Elle était pleine de haine envers ce type mais elle voulait la jouer de la façon la plus intelligente possible, elle voulait lui montrer qu’elle était beaucoup plus forte que lui. Donna se dirigea vers la porte, le dossier en main et l’ouvrit. Elle observait notre homme qui paraissait plus que ravie de voir débarquer une jolie jeune femme dans la salle d’interrogatoire. Elle jubilait mais ne laissait rien paraitre, elle était droite et stoïque, elle se rapprocha de la table et s’asseyait en face de l’accusé. Elle resta muette un instant comme pour se donner une constance, c’est alors qu’elle le regarda avec une haine non
dissimulé.

« Monsieur Spencer c’est bien ça ? », elle marqua une légère pause, « je suis l’agent Kernan-Calden, j’espère que vous avez conscience que vous vous êtes fourré dans un sacré pétrin » Il ne prononça pas un mot il se contentait seulement de rire, un rire qui avait le don d’exaspérer un peu plus la demoiselle.

Elle se leva violemment de la chaise, elle n’en pouvait plus de cette ordure. Il devait payer et ce n’est pas de cette manière qu’il allait cracher le morceau. Elle décida donc d’être un peu plus dure, ça le ferait peut être réagir un temps soit peu.

« Je ne suis pas à votre goût c’est ça ? J’ai remarqué que tu préférais les blondes, je me trompe ? », Elle sorti la photo d’une jeune femme blonde maculé de sang, il n’y avait pas été de mains morte. Elle lui jeta presque la photo au visage. « Alors dis-moi ce qu’elle t’a fait pour mériter ton attention ? », elle se calma un peu et s’asseyait à nouveau en face de lui. Il ouvrit enfin la bouche. « C’était une pute, une salope, elle a obtenue toute ma gratitude » Il se mit à rire encore une fois. La jeune femme avait enfin obtenue ce qu’elle voulait. Elle sorti une seconde photo il s’agissait d’un petit garçon qui avait subit le même sort. « Et lui vas y explique moi, lui aussi c’était une pute ? » dit-elle en lui montrant la photo du jeune garçon.

Elle se leva à nouveau et fit les cent pas autour de lui, il n’avait rien d’autre à ajouter pour sa défense, il avait perdu le petit sourire narquois qu’il avait au début de l’interrogatoire, peut être avait il réalisé qu’il risquait gros.

« Tu sais que tu risques la peine de mort ? Tout t’accuse, les empreintes, les traces de sangs, on a même un témoin pour le dernier meurtre. Je peux dire que tu vas pourrir en prison avant de finir sur le pilori. On dirait que tu fais moins le malin maintenant. » Donna était parfaitement fière d’elle, elle avait réussi à déstabilisé ce salopard. Elle le fixait intensément. Il n’avait pas l’air d’apprécier. « Salope, tu vas crever … » Elle ne pouvait s’empêcher de sourire. « Non toi d’abord … ». Elle se leva et sortit de la salle d'interrogatoire le sourire aux lèvres, elle avait réussi son coup.