Répondez par quelques phrases à chacune des questions suivantes.• Question numéro uneQUE PENSEZ VOUS DE CETTE RAFALE SOUDAINE ET IMPORTANTE DE CRIMES AUX ETATS UNIS ? EN AVEZ VOUS PEUR ? AVEZ VOUS CHANGE VOS HABITUDES FACE A TOUT CELA ? : Les crimes ne se sont pas mis à grimper en flèche, la seule différence c’est l’information par les médias. Ne dit-on pas la violence engendre la violence ? Soyons réaliste, un petit coup de stress ou de panique et un simple habitant de Chicago peut se transformer en un serial killer, même les mères de famille n’échappent pas à cette règle. Les habitants se mettent tous à paniquer mais pour ma part, il est certains que cette avalanche de crime me permet d’alimenter ma rubrique journalièrement. La vie en devient trépidante, j’affronte le danger tout en dénichant les dernières nouvelles. J’avoue que l’idée de voir des cadavres ne m’enchante guère. Les familles sont déchirées par la perte d’un être cher. Au fond, ce que le publique aime se sont les tragédies, les larmes et la culpabilité. La vie est bien plus attrayante lorsque l’on frôle les dangers et j’avoue que mon métier est devenu bien plus intéressant. Pour autant, je ne change pas mes habitudes, j’arrive au travail avec un verre de cappuccino tout frais du Starbuck coffee, je me promène en ville sans escorte ni gilet par balle. A quoi bon se protéger si un drame devait m’arriver, vous croyez réellement que je pourrais m’en sortir grâce à ce gadget de policier ?
• Question numéro deuxAVEZ VOUS DEJA ETE TEMOIN D'UN DELIT EN TOUT GENRE ? SI OUI, EN AVEZ VOUS SOUFFERT ? :Les crimes sont mon gagne pain. Le moindre fait intéressant me donne le droit à l’exclusivité. Les délits, le danger, font parties des risques du métier. A chaque fois, cela me retourne l’estomac, sans oublier cette poussée d’adrénaline qui me donne la sensation de voler durant deux heures. Je ne compte plus les entorses aux règlements, les règlements de compte. La chance me sourit, je n’en ai jamais été victime mais parfois la chance tourne et j’espère que je ne verrais pas de près le retour de la médaille.
• Question numéro troisSI VOTRE VIE EN DEPENDAIT, PENSEZ VOUS ETRE CAPABLE DE COMMETTRE UN CRIME ? : Un crime ? Vous plaisantez ? Il existe de nombreuse manière pour s’en sortir. Je reconnais que la plus simple serais de tuer mon agresseur mais je trouverais bien un moyen moins radical pour me sortir d’une mauvaise passe. Je suis peut être blonde mais croyez-moi, il n’existe pas plus malin que moi. Si la situation ne me laissait pas le choix, alors je pense que l’idée d’ôter la vie à un criminel apparaîtrait naturellement mais à ce moment précis, je ne répondrais pas de mes actes.
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• Mise en situation. Un nouveau jour se levait sur la ville de Chicago, tendis qu’une fine silhouette blonde courait à travers la ville, l’air déterminée. Le temps n’était pas à son avantage, soufflant de longue bourrasque de vent, se faufilant de part en part de ses vêtements, trouvant la proie idéale. La chaleur du soleil était dissimulée sous une épaisse barrière de nuage grisâtre. Seul quelques rayons arrivaient à traverser cette épaisse muraille pour réchauffer l’atmosphère. Emmitouflée dans son grand manteau noir, la jeune fille essoufflée, courrait vers le métro jusqu’à en perdre haleine. Pas de repos pour les guerriers, même le week end, les grasses matinées étaient bannies de son vocabulaire. Ce n’était pas pour lui déplaire. Ne dit on pas l’avenir appartient à celui qui se lève tôt ? Horrible vérité qui la transporté du grade pré-adulte à adulte aguerrit, prenant les responsabilités qu’on lui confiait sans s’opposer au choix de ses aînés. Seulement, le métro n’était pas un lieu qu’elle affectionnait particulièrement. Cette place bien trop fréquentée à son goût, était le lieu privilégié des vols et pickpockets. Ajouté à cela, elle avait développé une phobie incontrôlable lorsque plus de dix personnes se trouvaient autour d’elle. Une peur panique naissait sans lui laisser le moindre répit, l’empêchant de respirer comme il se doit avant de tomber sur le sol sans connaissance. Les médecins décrivaient ce mal comme de l’hyper ventilation, la peur augmentait son rythme cardiaque, accentuant ainsi le nombre d’inspiration qu’il lui fallait pour un apport correct en oxygène, seulement. La jeune fille avait pris soin de cacher cette « faiblesse » à son entourage, de peur de les inquiéter. Imaginez … une journaliste prise d’une crise en plein événement publique, priorité à sa carrière envers et contre tout.
Sa course contre la montre continuait, son regard se penchait vers les nombreuses horloges présentes sur les grandes places de la ville afin de respecter le timing qui lui était imparti. Sa trajectoire n'était pas rectiligne, Judy slalomait entre les nombreuses fourmis, sortie à l'extérieur, tôt le matin pour profiter pleinement de leur journée. L'un des passants qu'elle connaissait de vue dans un des cours de lettres moderne qu'elle suivait à la faculté, tenta de la stopper pour discuter quelques minutes avec elle, sans grand succès. La demoiselle n'avait pas de temps à perdre. Son regard se posa sur le bonhomme rouge lui interdisant de passer sur le passage piéton qui la séparait des rames de métro les plus proches de chez elle. Trente secondes passèrent alors que sa main droite vint se positionner dans sa poche à la recherche d'une information primordiale. Elle referma la poche avec attention, sortant par la même occasion un ticket qui lui permettrait d'accéder au sous-terrain. Une fois le bonhomme passait au vert, elle reprit sa course effrénée vers le sous-sol de la ville, descendant deux par deux les marches qui se trouvaient devant elle, continuant d'éviter son entourage pour parvenir jusqu’à son travail et prendre quelques affaires. Fatiguée, ses pas diminuèrent d'intensité pour devenir une marche rapide mais assez lente pour qu'elle puisse respirer plus sereinement.
8h … heure fatidique qui lui était accordée. Judy prit le métro sans encombre se retrouvant dans une heure de pointe désagréable, collée littéralement à des inconnus souhaitant entrer dans le même wagon sans égards pour tous ces passagers confinés. Son regard bleu lentement lui présentait des tâches noires sur fond blanc, empêchant sa respiration, bien trop petite pour happer l’air encore libre dans ce métro bondé. Fort heureusement, un « dong » sonna tendis que les portes du train s’ouvrir laissant s’échapper la petite souris mal en point. La prochaine fois, elle choisirait le bus prioritairement plutôt que les transports sous-terrains. Enfin l’air libre se présentait à elle, rendant son souffle léger et redonnant à ses joues, ses couleurs rosées naturelles. Bientôt des cris résonnèrent dans l’air forçant la demoiselle à pointer le bout de son nez. Tel un radar automatique, la petite souris détectait les évènements les plus croustillants faisant fit du danger, accourant à leur côté pour mieux s’imprégner de ce fait divers.
Deux hommes d'une vingtaine d'années, tatoués d'un symbole celtique sur leur avant bras, jouaient des poings pour déterminer lequel d'entre eux possédait le plus d'autorité. Leur carrure, forte en musculature, leur donnait un air de Rambo, difficile à ce stade, qui en sera le vainqueur. Des passants bien curieux sortirent leur portable dernier cri afin d'appeler les forces de polices et arrêter cette scène qui se jouait devant leurs yeux. Mais c'était sans compter le regard de tueur de l'un d'entre eux, qui les fit fuir si vite qu'elles en perdirent leur gadget adoré. Bien vite la blondinette tapotait sur son mini-ordinateur de poche - aussi appelait notebook- les données qu'elle transcrivait. Seulement, ce qui d'abord s'apparentait à un simple coup de sang se transforma en un règlement de compte lorsqu'une lame tâchée de sang, s'éclaira à la lumière du soleil. L'homme à bout d'argument, prit la liberté d'écourter la vie de son ascendant et ainsi remporter la victoire par K.O. Les yeux grands ouverts sur cette scène gore, Judy eut un instant d'absence cherchant à rembobiner cette scène vue dissimulée derrière un mur de brique. Le geste fut simple et rapide, sans que ce membre d'un gang ne regrette son geste, laissant un être humain giser sur sol, se vidant rapidement de son sang jusqu'à ce que son coeur s'arrête de battre dans un souffle. Ses dents se serrèrent les unes contre les autres totalement impuissante, que faire ? Sa mémoire commençait déjà à lui jouer des tours alors elle s'empressa d'écrire les lignes de ce récit aussi distinctement qu'elle l'avait vécu afin de coucher la vérité sur le journal du matin. Une thérapie efficace contre le remord qu'elle ressentait. Cet homme n'était pas un saint, pourtant méritait il une fin aussi violente ? La police et elle ne faisait pas bon ménage, elle s'arrangerait pour leur donner les détails croustillants au travers de ses écrits signés Nosy ...
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AVATAR : Allison Mack
PSEUDO : Annabella
SEXE : Féminin
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? : Je l'ai connu par top partenariat sur un forum où je suis fondatrice
OBSERVATIONS : Je trouve le design du forum magnifique, l'histoire est proche d'un film que j'ai adoré (Wanted), sans oublier les personnages prédéfinis très joliment créé.s Moi qui adore joueré des inconnus ou des personnalités rarement jouées, je suis servie avec Allison Mack ^_^