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 Nobody said it was fair. [Ryan&Lester]

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Jean Fox Mills
SAMNAMG • Ne soupçonne pas les répercutions que peuvent avoir les décisions.
Jean Fox Mills


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MessageSujet: Nobody said it was fair. [Ryan&Lester]   Nobody said it was fair. [Ryan&Lester] EmptySam 19 Sep - 23:02

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Nobody said it was fair.
Dans l'ordre= Jean, Ryan, Lester


Spoiler:


    Un coup, deux coups, puis un troisième. Fox était appuyée contre le montant d’une porte, examinant la scène. Samuel sa recrue commençait son entraînement, subissant des coups à répétition. Cet exercice n’est pas odieux non, c’est une mise en situation. Il faudra, s’il se fait prendre, qu’il encaisse des coups encore et encore, alors il devra subir mais surtout trouver un moyen de se libérer. Et c’est le cas ici. Il doit se défaire de ses liens, et devenir le frappeur, non plus la victime. Hors jusqu’à présent Samuel encaissait sans véritablement chercher à se débattre, ni même à chercher le sens de cet exercice. La plupart des recrues sont ainsi les premiers jours, et c’est totalement normal. Cependant au bout d’un certain temps il faut se réveiller. Fox était son mentor, elle s’occupait de lui apprendre les bases, de le conduire à ses exercices. Et le moment venu elle l’accompagnera pour sa première cible. Il en faut beaucoup pour la pousser à bout, et le fait que sa recrue ne bouge pas d’un pouce l’exaspère, pourtant elle prend sur elle.

    Après son ‘supplice’, Fox laissa sa recrue avec un autre tueur de la Confrérie afin de s’exercer au tire. Il était d’ailleurs plutôt bon. La tueuse regarda l’heure sur la grosse pendule en acier, accrochée sur le mur principal du hall d’entré. Les bras croisés, Fox resta là, à la fixer pendant plusieurs secondes. Que faire aujourd’hui ? Elle n’avait personne à éliminer, son contrat était prévu pour le lendemain soir, à la sortie de New-York. Elle ne pouvait pas avancer la date, le planning serait foutu. Elle pensa alors soudainement à Ryan, à leurs deux dernières rencontres. L’une sur le ferry, assez mouvementée avec des intentions masochistes qui n’avait pas énormément plu à Fox. Le fait d’être tester n’est pas très agréable, et pus vite irriter la tueuse. La seconde rencontre, dans une petite ruelle du Bronx après l’élimination d’une cible. Elle se souvient d’ailleurs encore de la tête de Ryan lorsqu’il la vit descendre de son conteneur à ordure, le sniper à la main. Cela se passait souvent ainsi. Pour le moment c’était le plus souvent rencontre mouvementée qu’autre chose.

    Elle sortit de ses pensées en entendant Harryson, tueur de la confrérie proche de la retraite, enguirlander une nouvelle recrue, en l’occurrence Samuel, qui avait une nouvelle fois fait tomber le chargeur de son arme au sol, avant de tirer… Elle se dit que son cas était désespéré, mais au fond elle sentait en lui un réel potentiel, grand et que peu de tueurs détiennent. Un peu maladroit certes, mais c’est une chose à apprendre. Fox se dit qu’elle n’allait pas rester toute la journée ici, à airer alors qu’Abraham lu avait dit de sortir un peu. De se changer les idées. Les tueurs ont aussi besoin d’autre chose que de coup de feu, d’une balle en pleine boîte crânienne et autre violence. Ils n’étaient pas adeptes des soirées mondaines et du cinéma, mais tout de même, parfois ils aiment changer de milieu ne serait-ce que pour deux heures. Mais Fox est un cas désespéré. Elle ne trouve rien de jouissif dans le fait d’aller claquer tout son fric dans les fringues. Ni d’aller s’exploser les tympans dans une boîte de nuit remplie de camés et autres débiles de ce genre. Elle ne parle pas des boîtes de nuit populaires et fréquentées par les jeunes, elle parle de boîtes plus privées. On peut y trouver un ramassis de fond de couche au mètre carré dans ce genre d’endroit.

    Flushing Meadows sera parfait. Un grand espace vert dans le Queens, assez proche de l’aéroport, l’Unisphère à quelques mètres et des commerces un peu partout. Cet endroit sera parfait, calme et elle ne risque pas, sauf si le destin s’acharne sur elle, de croiser quelqu’un. Fox sortit du bâtiment de la Confrérie et se mise au volant d’une Ford Camaro repeinte noire. Oui on aime les gros cylindrés. Bref on s’en fou. Jean Fox Mills démarra le bolide et sortit de la grande coure du bâtiment, à bonne vitesse en prenant une branche d’autoroute pour le Flushing Meadows. Elle alluma l’autoradio et passa par presque toutes les ondes pour trouver de la musique convenable. Au bout de quelques secondes de musiques sans queue ni tête, elle appuya violemment sur le bouton ‘off’. Elle arriva au bout de quelques minutes à sa destination et se gara sur un grand parking au bord de la route. Elle descendit de sa Ford, la verrouilla et regarda de chaque coté de la route avant de traverser. Elle n’a pas envie de finir éclater sur un par choc. Jean le mise à marcher sur les allées bétonnées au milieu d’un grand espace vert, d’arbres et de fleurs en tout genre. Son sac à main à l’épaule, contenant principalement son arme et un silencieux, quelques chewing-gums et son cellulaire. Pas de papiers, ni de gloss et autres produits cosmétiques. Elle n’en avait pas besoin, c’est un sac à main, pas une trousse de toilette. Accessoirement, un stick pour les lèvres, mais c’est tout. Jean regarda les gens passer, les couples s’embrasser et s’enlacer, les oiseaux voler et une femme gifler un homme, sur un banc, une boite de chocolat en main. Elle regardait tout ce beau monde en se disant qu’un jour, peut-être ils pourraient être sur la liste… Qu’un jour, elle devrait en abattre un. Encore un. Ses pensées s’interrompirent lorsqu’elle aperçue à quelques mètres devant elle, de face, Ryan. Jusque là rien de bien méchant, ils avaient l’habitude de se croiser plusieurs jours à suivre. Mais ce n’est pas lui qui l’inquiétait, c’était l’homme, grand et brun avec lui. Plus âgé, certainement la quarantaine avec une tronche d’agent du FBI. Elle voulut faire demi-tour, trop tard. Passer à côté incognito serait le must, mais il ne faut pas rêver. Le fait de croiser un agent du FBI passe, mais deux c’est risqué.
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